Linky … encore

Réunion publique à QUIERY LA MOTTE, salle Ansart

Vendredi 13 octobre à 18 h 30

Réunion animée par le collectif Linky 62

Une nouvelle adresse pour écrire

linky-quiery@listes.bassinminier62.org

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A Angres

La mairie de Angres a pris un arrêté municipal pour empêcher la pose des compteurs Linky sur la commune.

Par ailleurs, Maryse Roger Coupin, Maire d’Angres s’est également adressée à la CNIL.

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Rappel des articles sur le sujet sur quieryavenir.fr

2 articles le 6 octobre
1 article le 2 octobre (il y est fait mention notamment de la réunion du 13 octobre)
5 articles avant le mois de septembre

D’autres informations

Radio scarpe sensée – 94.1 FM – : intervention sur cette radio locale le mercredi 4 octobre ; pour l’écouter :

radioscarpesensee.com/

RadioPlus douvrin – 104.3FM- radioplus.fr/

lundi 9 octobre

Pour l’écouter :www.radioplus.fr/air-temps-podcast/

à partir de 40’22, jusque 52’24  ; mais l’émission est à écouter en totalité, car il y a un reportage sur Metaleurop et sur le jardinage.

Pour le lire : Intervention_RadioPlus 171009

lundi 16 octobre  de 9h 40 à 9 h 50 dans l’émission « l’air du temps ». Intervention sur linky (suite de la semaine précédente). Il y sera question principalement des risques encourus par ce compteur dit « intelligent ».

Radio RBM – 99.6 FM –  rbm996.fr/ 

mardi 17 octobre après 8 h, dans l’émission de Pascal Guislain. Intervention sur linky

Argumentaire d’un ingénieur EDF opposé au linky

vous pouvez le récupérer par deux méthodes :

http://dl.free.fr/k08d0PcdE

ou

http://www.politis62.org/politis62/telechargements

Rebelle santé

https://www.rebelle-sante.com/rebelle-sante-ndeg-184/environnement/linky

https://www.rebelle-sante.com/rebelle-sante-ndeg-194/environnement/linky-le-refus-qui-monte

Ressources

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« Pour l’économie française, l’opération Linky s’annonce perdante »

Dans une tribune au « Monde », l’inspecteur général des finances honoraire Patrice Cahart pointe les ratés préoccupants dans le déploiement des « compteurs intelligents » et s’interroge sur son utilité.

Tribune. La pose de compteurs Linky dans toute la France est censée permettre aux particuliers de maîtriser leur consommation d’électricité. Un million et demi de ces appareils sont déjà installés. Un objectif de 35 millions a été fixé pour 2021.

Hélas, cette vaste opération est mal partie. Seulement 0,2 % des usagers raccordés ont demandé à connaître leur consommation en temps réel (« courbe de charge »). Indifférence prévisible, car on voit mal les ménagères programmer leurs fours, leurs machines à laver, leurs appareils frigorifiques en fonction du cours de l’électricité à l’instant T. Et si jamais certaines voulaient tenter l’expérience, elles se lasseraient bientôt de lire des courbes sur leurs écrans…

La production et la pose d’un compteur sont évaluées de 140 euros à 240 euros, selon les sources. Ce qui, multiplié par trente-cinq millions de consommateurs, aboutit à une dépense de 5 à 8 milliards.

L’entreprise distributrice, Enédis, a choisi de ne pas faire payer Linky aux usagers (hormis le petit émetteur qui commanderait les appareils ménagers), et de se rattraper par des économies d’emplois. En effet, les consommations étant indiquées par radio, il n’y aurait plus besoin d’envoyer des agents pour effectuer des relevés. Une étude de la société Capgemini a conclu à l’équilibre financier de l’opération. Mais le coût brut total a été sous-estimé, et la durée des compteurs Linky a été estimée de façon fort optimiste à vingt ans.

Une opération perdante pour l’économie française

De toute façon, notre pays, où tant de besoins se manifestent, ne peut se permettre de consacrer des milliards à une opération sans bénéfice financier ni écologique. Dans l’immédiat, c’est bien entendu l’ensemble des abonnés qui supporte le coût au travers de ses factures.

Pour l’économie française, l’opération Linky s’annonce perdante. En effet, sur les six fournisseurs de compteurs, trois sont étrangers. Tandis que les milliers d’emplois que l’on cherche à économiser sont tous hexagonaux.

A ces difficultés s’ajoute une incertitude en matière de santé. L’Agence de sécurité sanitaire (ANSES) a estimé que les ondes électro-magnétiques émises par Linky ne présentaient pas un danger sérieux – tout en demandant d’approfondir les recherches :

lien vers PDF : https://www.anses.fr/fr/.

Mais ce qui importe, c’est le rayonnement de l’ensemble des appareils de la maisonnée, téléphones portables compris, auxquels Linky, fonctionnant en permanence, va s’additionner.

L’existence d’un risque

Dans son rapport de janvier 2017, le ministère de l’environnement a conseillé aux étudiants vivant dans une chambre, et donc plus exposés que d’autres en raison de la proximité des appareils, de se protéger de Linky par un « écran léger ». Ainsi, l’existence d’un risque est reconnue. Une expérience sanitaire d’une dizaine d’années aurait été souhaitable. Elle n’a duré qu’un an. Enfin, certains consommateurs redoutent une utilisation malveillante des données rassemblées sur leurs habitudes de vie. A long terme, des abus ne sont pas impossibles.

Pour ces différentes raisons, trois pays européens (Belgique, République tchèque, Lituanie) ont renoncé à créer un réseau de compteurs « intelligents ». L’Allemagne prévoit de limiter le sien à 15 % environ des usagers.

Enédis s’apprête à engloutir de 5 à 8 milliards dans une opération d’une utilité plus que douteuse, aux incidences mal connues. De son côté, EDF doit affecter des sommes assez importantes à la prolongation, comme aux États-Unis, de la vie de ses centrales nucléaires actuelles. Elle n’a pas le premier sou de cet investissement d’une évidente nécessité. Ne serait-il pas sage de lui transférer les milliards d’Enédis ?

http://lemonde.fr/idees/

Commentaire à cet article 

intéressant ; dommage que l’auteur compte utiliser les économies faites en n’installant pas les linky pour continuer à nous vendre du nucléaire !

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Une solution proposé par un lecteur pour les personnes ayant un compteur à l’extérieur

Ce montage ne concerne que les coffrets extérieurs en limite de propriété accessibles des 2 cotés (coté rue et coté jardin ).

Il faut d’abord  forer un trou de  diamètre 12 mm de chaque coté  du coffret . Un coté charniers et un coté serrure . Bien veiller a ne pas endommager les câbles électriques .

Normalement tous les câbles  électriques viennent du bas.  Dans ces trous glisser une gaine  PVC qui sert de guide a un câble en acier plastifié (diamètre 4 mm )

Sur la porte,  boulonner et  coller (après nettoyage)  un  rail de chaque coté de la porte . Vérifier avant fixation que la porte puisse fermer  correctement

Une fois les deux rails fixés  faire passer en partant de l’arrière coté charnière  le câble acier 4 mm dans le premier guide (dans mon cas un morceau de PER  rouge). Le faire passer dans un des trous du rail, de là  on part vers le deuxième guide. Mais avant on y a fait coulisser un crochet  qui lui s’accrochera au rail  coté serrure. En décrochant ce crochet on permet une ouverture totale du coffret. Donc le câble 4 mm repasse dans le guide  mais de l’intérieur vers l’extérieur .

A l’arrière du coffret  (ou du mur)  on a donc deux bouts de câble qui aboutissent.  Il faut les faire se rejoindre dans le serre câble

la longueur du câble est fonction  du système d’attache  qu’on trouvera pour  fixer  ce câble au mur coté privé (cadenas ; si le mur est très bas)

Une fois attaché pour ouvrir le coffret il faudra forcement  passer du coté privé

Matériel (sauf les rails et la colle)

6 boulons   + écrous ; (3 par rail)  / 1 serre câble  // 2 guides  / 2 m de câble   /  1  crochet