A tous les non paniqués qui ont encore les moyens de réfléchir,
Ce qui exclut apparemment déjà tous les politiciens vizirs
Je propose une excursion au Moyen-Âge
Qui a vu la peste bubonique faire des ravages.
Tout d’abord la question du jour
Le bubon était-il déjà en provenance de la Chine de toujours ?
Avait-t-il embarqué sur un A380
Ou bien sur un Boeing de ces arrogants Américains ?
Puis, pour envahir l’Europe aux 27 nations
Participé aux messes du foot de la coupe de nos champions ?
Voyagé sur de l’argent qui ne pouvait, au propre comme au figuré, être sale
Vu qu’à l’époque le peuple n’en avait que dalle
Pris le TGV pour essaimer dans tout le pays
Et mettre Bordeaux, Marseille et Strasbourg à portée de l’aéroport de Roissy
Envahi les établissements scolaires
Au temps de l’enseignement plus que sommaire
Entre les rayons des supermarchés avec son caddy trottiné
Alors que le tiers état n’avait pas sa faim apaisée
Et pourtant, malgré le peu de contact et de mélange des humains
La peste a décimé bon train
De plus apparue comme par enchantement
Elle a discrètement disparu après quelques milliers d’enterrements
Satisfaite sans doute du travail effectué
A savoir de l’espèce humaine les trop faibles éliminés
Grigris médicaux et incantations religieuses condamnés à la même inaction
Sans voix au chapitre pour enrayer l’épidémie et sa mortelle évolution.
Morale de l’histoire d’hier
Comme de celle d’aujourd’hui et qui ne doit pas rester un mystère
Tout virus prolifère dans un organisme quand les conditions pour lui sont bonnes
Le Moyen-Âge mal nourri lui a grandement facilité la donne
Nous en sommes au même point aujourd’hui
Où la malbouffe, d’immondices chimiques, le métabolisme gravement pervertit
Et la médecine, toujours en avance d’une chimère,
À l’extérieur s’obstine à vouloir pourfendre un hypothétique adversaire
Le politique lui reprend à son compte le joueur symphonique de flûte
Et entraîne le peuple pour qui plus dure sera la chute.
Alors, vraie panique « de ceux qui savent »
Et qui par leurs décisions tout aggravent ?
Ou énorme manipulation de masse
Comme répétition en vue de mettre au pas la populace ?
Objectif partiellement déjà atteint car la panique a pris ses quartiers
à voir les magasins surpeuplés ou, par décret, le corona est interdit d’entrée …
Une autre piste consisterait à faire porter au virus le chapeau
Pour masquer d’autres technologies aux effroyables oripeaux ?
Liste non-exhaustive
De potentielles et mortifères dérives …
Raison garder serait de fortifier un esprit sain dans un corps sain
L’atout majeur n’étant pas … de se laver les mains !
Mais bien de suivre le conseil plus que centenaire de Ba con sans frémir
« pour commander à la nature, il faut lui obéir ».
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Episode suivant
De quelques autres dizaines de millions
Emportées tous les ans par l’effroyable pollution
Faudrait que le bipède populaire s’évite d’être tout à fait bête,
Et agite les neurones censés être dans sa tête.
Oublie son angoisse de la mort
Et vit plus, tant qu’il respire encore.
Ose un début d’esprit critique pour déjouer les manipulations
Pour ne pas se conduire en mouton qui de l’autorité attend l’absolution.
Voilà ce que moi, le corona, à votre raison je suggère
Il n’y a pas d’autre façon de gagner cette instrumentalisée guerre.
Mon humilité me force pourtant à reconnaître
Que je suis aussi manipulé comme on peut l’être.
Les desseins et les dessous de ma célébrité me sont encore partiellement inconnus
Mais j’ai bon espoir de les découvrir avant que mon temps soit révolu
Par honnêteté intellectuelle j’avoue pourtant un obsédant H1N1 soupçon
Que d’oseille à palper avec 7 milliards de vaccinations !
D’ici là je fantasme sur le ridicule et l’illogique des décisions
Qui de la déraison donne une bonne définition.
Il faut croire que toutes ces années de confort anesthésiant
Et le déluge de désinformation qui noie l’ entendement
Ne permettent plus à l’homme une appréciation réfléchie
Laissant à son aise le cerveau reptilien préhistorique qui alors sévit
Pour les organisateurs de tout ce charivari
L’explosion de la transe populaire est du pain béni.
Une fois les esprits suffisamment malaxés
Facile sera de nouvelles contraintes imposées
Mieux, la masse se passera sans doute avec félicité les menottes
Afin de ne pas s’obliger à jouer ses propres notes.
Foi de corona va-t-il falloir platement m’excuser,
De ne pas les consciences humaines savoir réveiller ?
Gavroche l’Alsaco