Mots cachés … et accident de travail
Avant de démarrer la lecture des trois textes, un petit COMMENTAIRE à ‘occasion de ce week-end pascal … de la part de Pascal DIEUX
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Plus d’un milliard d’indigènes de liberté privés
Staline, Hitler et Mao totalement ringardisés
Ces humanistes ont pourtant quelques centaines de millions de cadavres à leur actif
Le bilan du corona en comparaison paraît bien chétif
Le ratio, dont se gargarisent tous les distingués économistes
Pour le petit virus se trouve très en arrière sur la liste
Qu’à cela ne tienne pour une autre raison il mérite son apparition dans le Guiness
Le record battu des scoops et autres numéros spéciaux de la presse
L’extra terrestre, dans le vide cosmique, qui observe la Terre à bord de sa soucoupe
se gratte les antennes d’un air plein de doute
De loin il a du mal à s’imaginer le pourquoi d’un tel … emprisonnement
Alors que la planète bleue vogue déjà très solitaire dans l’immensité du firmament
Des limites de notre système solaire, la boule et ses habitants miniaturisés
Ne représentent même plus une infinitésimale merdité
Aussi il semble difficile d’imaginer que nos supers cerveaux des gouvernements
Aient pris conscience que nous sommes confinés depuis l’aube des temps
Une fois cette donnée acquise, ce qui apparemment ne sera pas pour tout de suite
On pourrait accepter que du virus on ne pourra pas prendre la fuite.
Mais pourquoi finalement avec le corona ne pas prendre des gants ..
Et essayer d’avoir avec lui un comportement intelligent
Le combattre est inutile et même nos médicastres élites en coulisses en conviennent
Mais ils veulent lisser le pic épidémique quoi que par ailleurs il advienne
Pour cacher la faillite politique et médicale de nos systèmes décadents
Ils sont prêts à infliger au peuple bien des tourments
Et font feu de toutes lois et dans tous les domaines pour mettre sous le tapis
Leurs criminelles actions à venir et toute leur vile impéritie
Qui sera assez naïf pour croire qu’à cause de quelques milliers de macchabées
Finance, commerce, bourse … à plat on laisser aller sans maléfiques arrière-pensées ?
Le plus triste est de constater que toutes les opinions publiques
Adhèrent sans réflexion, pas besoin de référendum à proposer pour la suite
Délation et chasse aux sorcières seront remis au goût du jour
Des camps de concentration on pourra rouvrir les fours
Pour tous les obscurantistes sataniques à la moyennâgeuse pensée
Qui auront l’outrecuidance de vouloir vivre autrement que par des algorithmes pilotés.
Là est le vrai danger de notre civilisation en perdition
Les foules rendues encore plus aveugles et haineuses, par une pernicieuse manipulation
Le virus lui se gratte son dégarni occiput
Tuer les vieillards chancelants était sa mission, imposée par la nature et son seul but
Il se sent même trahi dans la nécessité de son action
En reluquant des médias, l’énorme compromission
Alors énervé, du peuple il veut prendre la tête de la rébellion
Quitte à y laisser sa peau et de recevoir l’extrême onction
Comme un Terminator que l’on a programmé pour nuire
Il va changer certains de ses circuits pour se détruire
Pour cela il apprendra au grand nombre la nécessité des vertus métaboliques
D’une nourriture qu’il faudra à nouveau rendre totalement biologique
Comme le préconisait une loi d’avant-guerre qui interdisait les produits chimiques
Dans tout ce qui se trouvait sur la table, alimentation crue ou cuite
Mais de criminels et cupides dirigeants n’ont rien trouvé de plus affligeant
Avant l’an 2000 de réduire cette loi à néant.
La nécessité d’air authentique pour nos cellules de bonheur ainsi irradier
Et non plus par les pollutions multiples être asphyxiées
Remettre les ondes en symbiose avec la création
Tous les G à liquider pour éviter le viol cellulaire par effraction
Ne plus empoisonner l’eau, la terre, le ciel et la mer
Donnerait pour moi l’exécuteur des hautes oeuvres un cocktail bien amer
seule façon pour vivre en bonne intelligence avec des organismes plus vieux que l’humain
Et absolument nécessaires pour un fonctionnement organique serein
Ces quelques règles éviteraient toutes pandémies réelles ou orchestrées
Et enlèveraient aux puissants un cheval de Troie destiné à nous priver de liberté
Gavroche l’Alsaco
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Je vous donne mon avis, rustique, évidemment : nous allons parler d’autre chose que du coronavirus…
Mais, même si l’on veut éviter le virus, il apparaît quand même partout !
Je ne veux pas me laisser asservir, ustensile amorphe du capitalisme que j’aurais pu être, et ce n’est pas parce qu’un pneu est crevé qu’il faut quitter le navire.
Rustine à acheter d’urgence ! Avant, j’étais triumvir hussite mais, en tant que trévire, Husserl était mon philosophe préféré.
Et j’écris en police Elzévir, rustaud ( Je suis trop modeste ! ) sur l’ordi comme ailleurs. Mais cela me va à ravir, rustre que je suis.
Parlons de mon envie de voyage ( Je sais, les déplacements touristiques en avion, c’est terminé… ) que je dois assouvir : Rustrel, dans le Vaucluse, pour laquelle mon coeur chavire, hussard dans l’âme depuis toujours.
Mais, dans mes destinations, il me reste des échelons à gravir ; Usain Bolt n’a pas ce problème… Pourquoi donc ne pas visiter l’Arménie et Armavir ? Usti Nab Labem sera l’étape suivante, une ville tchèque, bien sûr.
Ou alors Guadalquivir ? Ussel, c’est plus près quand même ! Ensuite, je passerai quelques jours à Condé sur Vire, russophile commune très célèbre pour ses bolets ( Rôde, Ravel ! ).
Au fait, des champignons, vous pouvez m’en resservir… Ustilaginales, s’il vous plaît.
Une précision : celui qui mange des cèpes confits ne manque de rien ! Mais là-bas, leurs arbres sont envahis de lichen : il faut sévir !
Usnée, adieu ! Par contre, je n’irai pas à Marseille en hélico : l’ Rhône a l’virus !
Dans la cité phocéenne, il paraît que Jean-Claude Decaux vit de 19 % de ses implants de mobilier urbain…
J’ai aussi une addiction ( Je n’ai pas dit « virus »… ) pour les péplums et cela peut me desservir. Russel Crowe dans Gladiator et Kirk Douglas dans Spartacus ( Tiens, ça rime… ) ont le virus ( Oh, pardon ! ) de la recherche de la liberté.
Cela aurait pu servir Hussein ( Sadam, mais pas sa femme ! ). En repensant à cette période, je rends hommage à un grand poète romain, Ovide.
Mais il a fallu qu’ Ovide, dix-neuf ans après J.C., meure en exil.
Pour passer aux choses sérieuses, de quel journal avez-vous envie ? Rustica, peut-être ? Sauf si vous n’êtes accro ( Paul, je parle de toi ! ) qu’aux vidéos. Illico, vide dix-neuf fois ton sac si tu te sens visé !
Mes excuses pour ce texte abscons, finement écrit, quand même…
Écrit par Pascal Dieux le 4 avril 2020
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Accident de travail … dû à un con finement trop appuyé
Sur l’air d’une chanson d’Alain Barrière : »elle était si jolie »…
Il était si débile
Qu’il lui offert sa main
Il était si débile
Qu’il faillit perdre sa main
Il était si débile
Sous la tondeuse en marche
Il a été trop bravache
Il y avait un bourrage
Il était bien trop débile
Il a voulu faire un nettoyage
Retirer les brins d’herbe
Mais la lame était acerbe
Oui mais voilà de terribles fractures
Et d’innombrables coupures
Il était si débile
Qu’il ne l’oubliera jamais
Aujourd’hui c’est la souffrance
Et il pleure souvent
Aujourd’hui c’est la souffrance
Et il souffre souvent
L’herbe du jardin frissonne
Mais sa main est meurtrie
La douleur tourbillonne
Et elle reste lancinante
Il était si débile
Les pompiers l’ont emmené
Il était si débile
Qu’il fut très vite opéré
Il était trop débile
Qu’il subit une torture
Il était si débile
Qu’il souffre sans fioriture.
Morale de l’histoire : à force de con finement, on devient con fini