Pour essayer de comprendre, une citation bien appropriée d’ Hannah Arendt
« Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez ».
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Le vaccin
La population est désormais scindée en 2 groupes.
Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin.
Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes.
Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits.
On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours.
Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.
Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.).
Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.
Ces 2 groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger.
La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre.
Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste.
Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits.
Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.
Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité – opportunité ? – désormais envisageable.
Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés.
Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle.
Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences.
Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins. Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.
Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres (ici au virus mortel), le sacrifice est présenté comme salvateur.
La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.
Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur.
« Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.
Le cap est franchi.
Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.
Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ?
Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.
Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes.
Et si les tests actuels sont encore utilisés -contre toute logique-, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle.
Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition.
Toute science a vraiment déserté nos sociétés.
Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.
Les conséquences humaines sont terribles.
Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut.
Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé.
Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel.
Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires.
La dictature est en marche.
Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur.
Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donne du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels.
Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau.
Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre, Bordeaux
Aide : www.medicalistes.fr/aide_sympa
Archives : www.medicalistes.fr/arc/santefrance
Documents : www.medicalistes.fr/d_read/santefrance
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Le médecin généraliste face au vaccin : d’accord ou… d’accord
Nous avons été contactés par un médecin généraliste amené dans le cadre de sa fonction à devoir placer une de ses patientes en maison de repos. Il a accepté de témoigner sur la procédure particulière qu’il doit suivre dans le cadre de la politique de vaccination en maison de repos. Une pratique qui lui inspire celles des « régimes totalitaires ».
« Hier j’ai dû passer voir une patiente que j’ai dû placer dans une maison de repos et de soins. J’ai adapté le traitement pour ma patiente et, avant de partir, l’infirmière m’a remis une feuille pour signaler si m’a patiente devrait prendre le “vaccin anti-Covid” ou pas.
J’ai déjà lu des documents étranges, semblables, où l’on se lavait les mains sur la prise de responsabilité médicale, derrière des mots comme “Standard Operating Procedure”, des termes militaires pour dire que le blindé engage son chemin, sans trop se soucier de qui est au volant, et qui est couvert par une assurance de responsabilité professionnelle médicale dans cette affaire. Je ne pense en effet pas que nos assurances professionnelles de responsabilité médicale nous couvrent pour la campagne d’administration de thérapie génique expérimentale qui est en train de se faire avec les produits de chez Pfizer et de Moderna. Nous n’avons aucun recul, donc, bien que le gouvernement et l’EMA (European Medicines Agency) soient entièrement derrière cette campagne d’expérimentation massive sur la population.
Mais le document que cette infirmière m’a remis hier soir, j’ai dû le relire, car il me semblait trop absurde. Le document me demandait d’informer ma patiente ou sa famille au sujet de la vaccination, et puis de noter si j’avais obtenu le consentement de ma patiente sur le papier. Si je ne le faisais pas, il considérait d’emblée que ma réponse était positive.
Seulement, en dessous, il n’y avait qu’une seule case à remplir : une case pour dire, d’une manière générale, que je donnais mon accord pour la vaccination anti-SARS-CoV-2 de mes patients. J’avais l’impression de me trouver dans un choix offert sous un régime totalitaire, où il n’y avait qu’une seule manière de voter. »
Confronté à cette feuille de demande d’autorisation de donner le produit injectable expérimental à sa patiente, le médecin traitant a indiqué dessus :
« [Que cela soit bien clair], Je soussigné, Dr. XXX XXX , [N’]“autorise““PAS“ ( où le « Que cela soit bien clair », « N’ » et le « PAS » ont dû être ajoutés entre les mots dans la phrase) que la vaccination contre le COVID-19 soit effectuée pour mes patients. Concerne la patiente XXXXX ».
Consterné, le médecin traitant a également indiqué sur la feuille prévue pour l’autorisation de la vaccination :
« Où est la case pour dire qu’évidemment ma patiente n’est pas candidate pour cette expérimentation ? »
Pour s’assurer que son indication de ne pas la vacciner soit suivie par l’équipe du home, le médecin a encore mis : « Elle a déjà eu le Covid-19, lui donner ce produit est très dangereux ! »
« C’est surtout cette dernière phrase qui a suscité discussions et inquiétude chez les infirmiers qui avaient vu le message, car dans ce Home de Repos et de Soins on vaccinait les personnes qui avaient eu le Coronavirus autant que celles qui ne l’avaient pas eu. Il y a en fait très peu de recul expérimental pour affirmer si les patients qui avaient déjà fait le Covid-19 étaient plus à risque ou non de développer des effets secondaires : ce qu’on peut raisonnablement dire, c’est que le ratio-bénéfice /risque et nettement moins en faveur de la vaccination de ces personnes ( car elles ont déjà une immunité naturelle), et qu’il y a plus de risques de créer un état douloureux d’inflammation iatrogène(1) chez les personnes qui ont récemment fait la maladie.
Le danger est de donner des thérapies géniques présentées comme des vaccins contre un Coronavirus, à des personnes âgées, sachant que ces techniques n’ont pas encore passé des épreuves précliniques sur les animaux. Cela relève d’un risque qu’on ne peut pas se permettre. La réalité est que ce virus est surtout dangereux par la réaction inflammatoire qu’il peut provoquer chez certaines personnes à risque : cela doit être traité au cas par cas, avec les bons traitements qui existent. La solution n’est pas de “faire la guerre contre ce virus”, en développant dans un temps record des vaccins expérimentaux contre un Coronavirus peu immunisant, sachant, en médecine vétérinaire, qu’on a déjà essuyé 30 ans d’échecs cuisants, et que les essais sur les animaux pour développer des vaccins contre les SARS-Coronavirus ont donné des réactions bien pires d’inflammation, quand les animaux étaient exposés à de nouveaux SARS-virus après leurs “vaccinations”. Cela relève du bon sens médical Hippocratique, qui malheureusement se perd dans nos universités de nos jours.
En tout cas, le médecin coordinateur du home était tellement outré par mes remarques sur la feuille “d’autorisation de vacciner”, qu’il a pris son téléphone immédiatement et a bruyamment exprimé son exaspération contre moi, le médecin traitant récalcitrant, utilisant des adjectifs peu confraternels et exprimant son intention de porter cette attitude “non scientifique” devant l’Ordre des Médecins… »
Un médecin anonyme
- NDLR Provoqué par un médicament, par un traitement médical
kairospresse.be