Les virus font partie intégrante de la vie elle-même ; ils sont la manière dont la nature assure la «survie du plus apte».
Une réflexion d’Hélène avant l’explication :
Le monde « sain » auquel nous aspirons est un monde débarrassé de toutes les pollutions auxquelles ils nous exposent pour que nous demeurions leurs esclaves et qu’ils se fassent du fric.
Tous les sujets sont liés.
Nous ne voulons plus de leur prison sans mur.
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Les virus sondent constamment les défenses du système immunitaire du corps.
Si le système immunitaire est sain, les virus sont neutralisés.
Si le système immunitaire est dégradé / dysfonctionnel, les virus pathogènes peuvent envahir les cellules, se répliquer et déclencher une chaîne d’événements conduisant à une pandémie.
En conséquence qui est co-responsable de la pandémie du Covid-19 ? En France ceux qui sont co-responsables de l’affaiblissement du système immunitaire qui ne peut plus neutraliser les virus sont Macron et consorts de par leurs politiques technologiques chroniques d’immixtions de pollutions pathogènes qui dégradent le système immunitaire de la population pour en arriver aujourd’hui au décrochement constaté.
La seule et unique solution pour arrêter ces types de pandémies n’est pas la virologie, mais la réduction drastique des problèmes toxicologiques.
Si c’est pour veiller à la survie des autres personnes qui sont vaccinées, pourquoi imposer à ceux qui refusent le vaccin de le recevoir si ces premières personnes sont protégées ? L’implémentation du pass sanitaire semble bien être l’aveu de l’échec de la vaccination. Si tant de personnes descendent dans la rue pour défendre leur liberté de conscience, c’est qu’elles perçoivent au-delà de leurs propres intérêts que la balance bénéfice/risque appliquée au pass sanitaire n’a pas de sens car la considérer revient à abdiquer de sa liberté propre.
Mais au-delà de cette atteinte à la liberté de conscience, il est un risque aussi grand qui est pris par l’adoption du pass sanitaire pour les actes de la vie quotidienne. Celui d’accepter d’entrer dans une société où sa liberté de mouvement et de choix de santé sont régies par l’État. En forçant des personnes à recevoir le vaccin, on les fait tacitement accepter un système plus large où elles remettent l’exercice du consentement éclairé à un État qui prend les décisions à leur place. En faisant accepter de force le vaccin, on rend ces personnes complices du système lui-même puisqu’on pourra leur rétorquer qu’elles n’ont pas eu la force de résister à ce qui leur paraissait mauvais parce qu’elles ont vu finalement dans la vaccination un avantage : celui au moins d’acheter son confort, son travail, sa liberté dans la vie quotidienne. La personne ainsi vaccinée contre son gré mais en même temps par un choix final qui lui revient vient ainsi alimenter le système de la mise en place d’un État qui décide pour nous-même in fine en termes de santé publique. La subtilité du pass sanitaire réside dans le fait de contraindre tout en remettant l’ultime responsabilité à celui qui choisit d’être vacciné, permettant ainsi la croissance d’un cadre où tous ceux qui sont vaccinés vont avoir tendance à défendre le système d’un État qui décide pour nous. Sur le plan théorique, la personne accepte ainsi d’être contrôlée publiquement par l’État au niveau de ce qui normalement constitue l’exercice du droit à la santé et au secret médical. Là encore il est légitime d’alerter les consciences lorsque l’exercice de la liberté est gravement remis en question par une démission de sa responsabilité au profit d’un jugement étatique auquel on se soumet.
EHS France
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De la pensée complexe face à la grande chorale
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Barbara Stiegler dit (…) « que nous sommes entrés en « pandémie, un nouveau continent mental ». Je ne suis pas complotiste, je ne suis pas « antivax ». Je veux, comme nous tous, sortir de cette période terrible. Je suis militante depuis l’adolescence (en 1976), non par dogmatisme mais par soif de décrypter le monde et de le préserver de la folie des hommes. Alors je refuse de sauter à l’eau avec les moutons de Panurge. Je refuse que la peur nous aveugle et nous fasse gober sans réflexion la pensée binaire qui domine depuis quelques mois. Je veux que mes ami.es, collègues, camarades militants qui savent décrypter le monde et éclairer ses fonctionnements, ses dérives, ses prises de pouvoir, ne me regardent pas avec horreur quand j’ai le malheur d’exprimer mes doutes et de dire : »je ne suis pas vaccinée ». J’ai besoin que l’esprit critique, la pensée complexe, le recul, le discernement et le débat démocratique prennent le dessus sur cette grande chorale de ceux qui crient « au loup ». Je voudrais que des scientifiques formés dans leur domaine, médecins, sociologues, ethnologues, psychiatres, statisticiens, philosophes …. éclairent le débat. Et, forte de toutes ces informations, peut-être que j’irai … me faire vacciner !
Courrier d’une lectrice paru dans Politis
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Ce vendredi matin 23 juillet 11h30, je viens de constater avec stupéfaction que je ne peux plus aller à la piscine de mon village (dont je paye les taxes d’habitation, foncière , etc… et je devrai donc bénéficier des infrastructures, sinon pourquoi devrais je payer ?)
Or, la fréquentation de la piscine le matin est de 1 à 20 personnes max, nettoyage et désinfection à midi.
D’autant que la loi n’est pas encore au Journal Officiel (seul un décret).Ce qui est légal ici n’est guère légitime, surtout que cela engendre une ségrégation entre vaccinés (dont je respecte le choix, à condition ça en eût été un) et non vaccinés, qui deviennent des sous citoyens, privés d’une grande partie de leurs droits.
En exagérant à peine, j’appelle cela un nouvel holocauste, dont nous sommes les « youpins des temps moderns » ( pardon pour les personnes de confession juive que je respecte infiniment)
Dès lors, j’espère que nous aurons des ristournes sur les impôts, taxes, assurance maladie et consort, vu que très vite, nous ne pourrons accéder à …rien.
Concernant la piscine, je demande solennellement que le CM de … se prononce pour une dérogation aux heures de la matinée, au vu de la faible fréquentation.
Je me demande comment ces pseudo élus de La Répression en Marche arrivent à se regarder dans une glace, avec la malveillance dont il maltraite la population, c’est insensé et nous vivons dans un monde de fous, en pleine crise de bouffée délirante ; et les plus fous ont le pouvoir.
Les personnes vaccinées ne sont pas à l’abri, car ce n’est que le début d’un long processus de soumission et de servitude qui s’enclenche, et très vite elles pourraient être rattrapées par leur passivité.
Pour rappel : une citation du pasteur Martin Niemöller (1892–1984) sur la lâcheté des intellectuels allemands au moment de l’accession des nazis au pouvoir et des purges qui ont alors visé leurs ennemis, un groupe après l’autre :
Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit ;
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit ;
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai rien dit ;
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai rien dit ;
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait plus personne pour protester.
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Se faire vacciner ?
Un document provenant d’une médecin travaillant en Suisse Romande
Voilà le texte permettant d’alerter ses patients avant qu’ils acceptent de se faire vacciner contre le Covid-19.
Votre consentement éclairé avant de recevoir le vaccin à ARN COVID-19
Quelques vérités à accepter avant que je vous injecte le vaccin :
- Je comprends que je reçois un vaccin expérimental, entièrement nouveau, avec des ingrédients inédits qui n’ont jamais été administrés en masse avant l’été 2020.
- Je consens à participer à une expérience internationale menée par des entreprises pharmaceutiques et des politiciens qui n’assument aucune responsabilité pour tout dommage causé.
- Je suis d’accord de fournir mes données médicales personnelles pendant l durée de deux ans, au cours de cette étude post-autorisation de phase 3 puis 4.
- Je comprends que les vaccins sont encore en phase expérimentale et que les essais cliniques de phase 3 sont en cours – leurs achèvements prévus en octobre 2022 pour Moderna et en janvier 2023 pour Pfizer-BioNTech Comirnaty.
- Je suis au courant que les résultats définitifs de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins expérimentaux sont inconnus à ce jour.
- Je prends conscience que ce vaccin expérimental est un produit de génie génétique 100% synthétique – c’est un OGM, un organisme génétiquement modifié, qui sera injecté dans mon corps.
- Je comprends que ce vaccin expérimental peut :
– ne pas me protéger de la maladie Covid-19 (ne protégerait potentiellement que des formes graves)
– ni prévenir la transmission du virus SRAS-CoV-2
- Je reconnais que l’analyse du ratio bénéfice-risque de ce vaccin expérimental est fondée sur des risques inconnus et minimisés, et des avantages surestimés et présumés. Les risques potentiels incluent l’atteinte à la fertilité, troubles de la coagulation et troubles neurologiques.
- J’accepte l’idée fausse selon laquelle être humain signifie être toujours un contaminant potentiel et un vecteur de maladie, idée faite pour susciter la peur.
- Je comprends qu’avec le vaccin, je dois garder les mesures barrières : règles de distanciation sociale, du port du masque, PCR et quarantaine si je suis testé(e) positif(ve) à l’avenir.
- Je reconnais qu’à ce jour, des milliers de décès ont été signalés à la suite de cette campagne de vaccination expérimentale, ainsi que des centaines de milliers de blessés souffrant de troubles neurologiques, d’inflammations sévères et d’effets indésirables cardiovasculaires (thromboses, AVC, infarctus)
- Je comprends que la maladie de Covid n’est à haut risque que pour les personnes âgées et les immunodéprimés, et que pour que plus de 99.7% de la population le décès n’est pas un risque : 99.7% de survie !
- J’ai pris connaissance des politiques et accords en Suisse concernant l’indemnisation et les compensations (maximum payé= CHF 70’000) : je comprends qu’il pourrait s’avérer impossible de poursuivre le fabriquant de cette injection contre le Covid-19 au cas où elle serait responsable d’un dommage sur ma santé, ou d’un décès.
- Je comprends et j’ai lu la liste des effets indésirables significatifs signalés en lien avec les injections contre le Covid-19. Les effets indésirables connus comprennent : l’infection au Covid-19, l’anaphylaxie, des problèmes neurologiques, troubles cardio-vasculaires graves, maladies auto-immunes, affections chroniques, la cécité et la surdité, problèmes de fertilité, dommages sur les fœtus, fausse-couches, mort-nés et décès.
- Je suis informé que la probabilité statistique de décès par Covid-19 est de 0,003% pour les jeunes (entre 0 et 19 ans), 0,02% entre 20 et 49 ans, 0,5% pour des individus âgés de 50 à 69 ans, 5,4% pour les seniors âgés de 70 ans et plus quand non soignés (tel qu’il a été fortement recommandé de le faire : »restez chez vous ! »)
- J’ai pris connaissance que bien que vendues sous le nom de « vaccins », ces injections Covid-19 ARNm sont des thérapies géniques expérimentales. Les fabricants de vaccin décrivent officiellement l’approche ARNm, jamais autorisée auparavant, comme un moyen de « programmer les cellules d’un individu » ou, en usant de la terminologie de la société Moderna, comme le déploiement d’un nouveau « logiciel ». Dans la recherche passée, les injections de ARNm ont montré qu’elles avaient un élément inflammatoire intrinsèque, ce qui rend difficile la détermination d’une balance bénéfice/risque « acceptable ».
- En tant que cobaye, je suis bien conscient.e que, contrairement à tout autre essai thérapeutique de médicament, je ne serai pas payé.e/défrayé.e par le laboratoire pour cet essai de phase 3 dans la population générale.
J’ai bien lu et compris, je donne mon consentement éclairé et j’accepte de me faire vacciner en toute liberté avec le vaccin expérimental Moderna/Pfizer et décharge entièrement mon médecin de toute responsabilité civile et pénale concernant cette injection et ses possibles conséquences.
Fait à
Le signature du patient/de la patiente