Un remède pire que le mal ?
Depuis que la pandémie de COVID-19 a entraîné une psychose dans les pays développés, des « vaccins » ont été mis au point en un temps record avec un seul mot d’ordre : la vaccination pour toutes et tous, dès 12 ans, coûte que coûte. Toutefois, les « vaccins » révolutionnaires qui nous sont proposés puis imposés ne sont pas sans risques. Les données de pharmacovigilance qui remontent très timidement sont déjà catastrophiques et laissent craindre le pire poussant de plus en plus de scientifiques et médecins à demander l’arrêt immédiat de la vaccination, principalement chez les personnes jeunes et en bonne santé.
Suite à la pandémie de COVID-19, les pays développés ont adopté une curieuse stratégie sanitaire : plutôt que de soigner rapidement les malades avec des traitements qui font leurs preuves (Ivermectine, Azythromicine…) et qui sont utilisés depuis des décennies sans contre-indication, ils ont accepté, dans l’urgence des soit-disant « vaccins ».
Et pourtant, en plus de 40 ans de recherches, aucun vaccin n’avait jamais été mis au point contre les coronavirus… Jusqu’à ce jour ?
L’ivermectine est maintenant utilisé comme traitement anti-COVID par 28 % de la population mondiale.
En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre soi-disant « catastrophique » de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision.
« Cette précipitation a généré une série de problèmes potentiels, comme l’impossibilité de connaître les événements indésirables à moyen et long terme, qui se confirment en pratique jour après jour, sans parler du silence gênant et même l’interdiction, dû à la censure des grands médias et réseaux sociaux et même de l’OMS elle-même, concernant les propositions de traitements pour cette nouvelle maladie en utilisant des médicaments sûrs et établis pour maladies virales et thromboemboliques similaires. » (déclaration de 300 médecins brésiliens du 20 juillet 2021)
La pandémie de COVID-19 aurait[1] tué environ 3,6 millions de personnes en un an (01/09/2020 au 01/09/2021), à comparer aux quelque 40 millions de morts évitables par an mais qui n’intéressent guère et aux 83 millions de personnes en plus sur Terre chaque année…
En France, cette stratégie est avant tout politique et financière (la vente des « vaccins » rapporte beaucoup d’argent notamment à Pfizer dont les revenus ont bondi de 92 %) puisque le débat scientifique et médical est muselé et les traitements précoces ont rapidement été interdits.
Les messages abrutissants et terrorisants puis les mesures liberticides fonctionnent bien : 48 % de la population mondiale est maintenant vaccinée et 6,6 milliards de doses de « vaccins » ont été injectées (Our world in Data, 10/2021) dans ce qui est dorénavant la plus grande expérience médicale de l’histoire de l’humanité.
Les conséquences, minimisées, étouffées, ridiculisées et balayées par les politiques et la plupart des journalistes, sont pourtant du jamais vu dans l’histoire des médicaments.
Aujourd’hui, aux Etats-Unis et en Europe, 3 vaccins sont principalement administrés :
- COMIRNATY (BioNTech et Pfizer) – Vaccin à ARNm
- COVID-19 VACCINE MODERNA – Vaccin à ARNm[2]
- VAXZEVRIA (ASTRAZENECA) – Vaccin à vecteur viral
Ces deux premiers « vaccins » – les plus administrés dans les pays occidentaux – ne sont pas des vaccins traditionnels, c’est-à-dire avec des virus atténués ou inactifs : ils se basent sur l’ARNm (ARN messager), une révolution médicale qui aurait mérité plus d’études, de précaution et de temps avant d’être massivement utilisée sur la population.
Les effets indésirables de ces « vaccins » et donc le rapport bénéfice / risque est donc officiellement encore en cours de test et les vaccinés en sont les « volontaires ».
Combien de personnes sont mortes suite à la « vaccination » anti-COVID ?
Outre les très nombreux témoignages (volontairement non médiatisés et rapidement censurés sur les médias sociaux) qui émergent des victimes et proches dans les pays les plus vaccinés, ce sont les données de pharmacovigilance qui donnent une estimation très conservatrice des effets indésirables graves et mortels de cette « vaccination ».
Pourquoi les avertissements de la pharmacovigilance sur ces « vaccins » sont très discutables
Quelque soit la base de données étudiée, les messages d’avertissement sont nombreux et martèlent que l’on ne peut déduire aucune relation entre les vaccins suspects et les conséquences observées suite à la vaccination : « Les informations présentées sur ce site web ne reflètent aucune confirmation d’un lien potentiel entre le médicament et le(s) effet(s) observé(s). » (EduraVigilance) ; « Il est important de noter que les données de la Yello Card ne peuvent pas être utilisées pour dériver les taux d’effets secondaires ou comparer le profil d’innocuité des vaccinations contre le COVID-19, car de nombreux facteurs peuvent influencer la notification des effets indésirables. » (Yello Card pour le Royaume-Uni)
Et pourtant, cette prudence, relativement acceptable depuis des décennies pour d’autres traitements et autres vaccins, n’est absolument pas recevable pour la « vaccination » anti-COVID pour les raisons suivantes :
- On estime que seulement 10 % des cas d’effets indésirables sont enregistrés dans ces bases de données (méconnaissance, interdiction, refus et pression hiérarchique, difficultés techniques …) ce qui donne encore plus de crédibilité aux cas qui sont enregistrés.
Mentionnons le Dr belge Thierry Hertoghe qui témoigne de sa difficulté à faire remonter les effets indésirables de sa propre « vaccination » : « Je tiens ici à témoigner comme médecin et patient d’un effet négatif du vaccin dont d’après moi la fréquence de survenue d’effets majeurs dangereux du vaccin est largement sous-estimée, peut-être à cause d’un manque de vérification et parce que la plupart des cas d’intolérance ne sont simplement pas répertoriés. »
Le Dr. Philippe de Chazournes (île de La Réunion) affirmait le 23 septembre 2021 : « on nous interdit de signaler les éventuels effets indésirables » et risque par ses propos d’être radié de l’ordre des médecins… - Les seules données remontées sont tout simplement du jamais vu dans l’histoire de la vaccination et c’est valable pour tous les pays qui publient leurs données de pharmacovigilance : il y a un bond statistique colossal et édifiant (+ 1000 % sur les décés aux USA) qui ne laisse aucun doute sur les effets délétères de ces « vaccins ». Il ne peut y avoir de confusion avec un autre traitement anti-COVID puisqu’ils sont interdits ou administrés au compte-goutte dans ces mêmes pays. En outre, il s’agit de personnes vaccinées qui ne devraient donc pas en théorie développer des formes graves du COVID et qui ne nécessitent donc pas de traitements.
Sir Christopher Chope, membre du Parti conservateur au Parlement anglais, interpellait son gouvernement le 10 septembre sur la transparence autour des injections contre le Covid : « Les vaccins contre le Covid-19 causent beaucoup plus de dommages aux citoyens Anglais que tout autre programme de vaccination dans l’histoire. »
Sir Christopher Chope wants transparency. Don’t we all! pic.twitter.com/xWlEt1SwMT
— I do not consent (this tweet is misleading) (@Idonotconsent6) September 10, 2021
- Le 21 septembre 2021, Dr. Arne Burkhardt et le Prof. Dr. Walter ont présenté sur Youtube (vidéo censurée en quelques heures) les résultats des autopsies de 10 personnes qui sont mortes après avoir été « vaccinées ». Celles-ci étaient relativement âgées (plus de 54 ans) et sont mortes en moyenne 50 jours après leur injection (une ou deux doses). Les résultats des autopsies sont édifiants : 5 personnes sur 10 sont très probablement mortes à cause du « vaccin », 2 sur 10 probablement et seulement un cas pourrait être écarté.
- L’opacité des données de pharmacovigilance ou leur publication partielle rend difficile la vérification des propos rassurants des gouvernements. En France le rapport de la cour des comptes du 22/09/2021 souligne l’opacité et la confusion des données communiquées par le gouvernement concernant le taux d’occupation des lits en réanimation, un indicateur clé dans la gestion de la pandémie. Ce manque de transparence et les propos mensongers répétés n’invitent pas à la confiance.
- Si les décès remontés par la pharmacovigilance sont des personnes décédées suite à l’injection, pas nécessairement de l’injection, soulignons que de la même façon, les décès signalés par COVID-19 sont des personnes décédées avec COVID-19, pas nécessairement de COVID-19… (Classen B. Trends Int Med. 2021).
- De très nombreux témoignages dans tous les pays fortement vaccinés remontent sur les réseaux sociaux et les sites non officiels de recensement des effets indésirables. A contrario, il est très difficile de retrouver de tels témoignages (très rares) pour les autres vaccins.
- Une dizaine de vaccins sont administrés à une très grande partie de la population mondiale depuis des décennies sans que de tels effets néfastes soient constatés, nous ne pouvons donc pas considérer que la « vaccination » actuelle est exceptionnelle en terme de couverture vaccinale et que par conséquent, le nombre de décès et de cas graves le seraient aussi.
- Une surmortalité commence à être observée, comme en Grande-Bretagne où plus de 4 600 personnes sont mortes en plus cet été sans qu’il s’agisse de malades de la COVID… Et curieusement, les causes de décès sont cohérentes avec les effets mortels engendrés par les « vaccins ».
En France, on observe également une surmortalité (+ 1,4 % du 1er juin au 23 août 2021 par rapport à la même période de 2019) mais sans que l’on puisse discerner la part des décès COVID.
Pour en savoir beaucoup plus :