Omicron vaccinerait gratuitement et sans effets secondaires graves
Extraits
Les résultats des premières études sur Omicron sont entre les mains des communicants et ce n’est pas simple ; le bougre ne serait pas dangereux et pourrait devenir le vaccin donné gratuitement par Mère Nature. Une véritable catastrophe boursière qu’il faut transformer en opportunité. Les télétoubibs se mobilisent… Les fils d’Ursula et de Fabius nous préparent la suite…
Omicron, un rhume capable d’immuniser ? Ben oui l’histoire nous apprend que cela se passe toujours ainsi, en 1894/95 avec oc43
1 Il faut absolument sauver Pfizer et empêcher le rhume Omicron de chasser Delta et de vacciner gratuitement
Du calme les amis ! Les symptômes d’Omicron qui ont été signalés jusqu’à présent. En général assez semblable à la grippe saisonnière. Les mêmes symptômes. N’implique pas les poumons mais principalement les voies respiratoires supérieures. Assez similaire aux virus corona connus du rhume
Que faire alors ? LAISSER OMICRON NOUS VACCINER ? ça va pas non ? et les doses on en fait quoi ? Les télétoubibs parlent de 4 doses maintenant
Injecter en masse en profitant de la peur de Delta mais faut faire vite, puis injecter un produit contre Omicron… ça c’est intelligent … Un pass contre un rhume ? Ben oui !
LE FILS FABIUS ET CELUI D URSULA REFLECHISSENT, Le Figaro, Libé et les autres devraient nous dire que finalement les injections protègent même si c‘est pas vrai…
2 LES ETUDES demontrent que les potions actuelles sont inefficaces mais pas l’immunité post infection
1) Les sud-africains ont fourni les comparaisons entre l’efficacité du Pfizer sur le covid 19 traditionnel et Omicron : efficacité devenu nulle. Puis cette étude financée par la fondation Gates compare avec des personnes infectées, guéries et…. allez savoir pourquoi, vaccinées ensuite : ça marche. Bon ils n’ont pas comparé avec des personnes seulement infectées, guéries, ils connaissaient les résultats
2) Une étude allemande donne des résultats très clairs, efficacité deux doses :0%, deux doses et booster : 25% Efficacité nulle des traitements aux anticorps
3) Une étude américaine ( mais sur pseudo virus) parle d’une division par sept
3 en 1892 le précédent covid est devenu lui aussi un simple rhume et a immunisé la population
La covid n’est pas une maladie nouvelle, une vengeance de la planête et nos rhumes actuels témoignent des pandémies d’hier, en particulier celle de 1890. Etrange, cette covid aurait frappé un habitant sur deux pour n’en tuer que 40 000. L’occasion de comparer les pratiques : la presse cessa de parlerde la pandémie au bout de quelques semaines et les médecins de terrain se débrouillèrent en toute liberté avec les molécules à leur disposition.
1 C’ETAIT BIEN UNE COVID !
Les contemporains furent surpris par ce qu’ils appelaient la grippe russe, elle était très contagieuse et ne présentait pas les caractéristiques d’une grippe habituelle. Des complications neurologiques et cardiaques, des manifestations cutanées : toutes les caractéristiques d’un covid. Elle sévit entre 1890 et 1894 avant de devenir la responsable d’une partie de nos rhumes chroniques actuels. D’après le Vidal, la grippe russe aurait pu démarrer dans la ville de Boukhara dès 1888 (Ouzbékistan). Mais le début de l’épidémie aurait vu le jour en novembre 1889 à Saint-Pétersbourg.
L’usage des chiffres en 1889-1890 est un rappel : les chiffres sont toujours liés à des méthodes de collecte et de traitement de données, des contextes interprétatifs, par exemple des débats médicaux, démographiques, politiques. Ces chiffres construisent une intelligibilité du présent ou du passé… ou leur ignorance. En 1889-1890, on assiste aux deux mouvements : la grippe est saisie comme jamais auparavant par la surmortalité ; mais le pic de mortalité est replacé dans une autre série chiffrée, celle de la dépopulation française, qui sape la portée du « fait » social épidémique. La grippe apparaît comme un accident par rapport à un autre « fait », démographique et politique, plus inquiétant et donc urgent, en particulier pour les élites françaises qui comparent avec la population allemande.
https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/memos-demo/paroles-chercheurs/frederic-v
Je puis légitimement supposer que l’épidémie s’étant encore maintenue pendant deux ou trois mois pleins, a dû atteindre, dans l’armée, à peu près une personne sur deux. Si je suppose que dans la population civile la proportion a été la même, je suis amené à penser que la moitié de la population a été atteinte à des degrés divers, soit 19 millions de personnes.
Voilà pour les malades. D’autre part, il y aurait eu, d’après mes calculs, 60,000
décès par la grippe, soit une mortalité de 1.6 p. 1,000 habitants, et de 3 p. 1,000
malades. Tel aurait été la véritable mortalité de Tinfluenza.
Le taux de mortalité est faible : de 0,1 à 0,28 %. Le caractère « modéré » de la pandémie de 1889-1890 est similaire à celui des pandémies de la deuxième moitié du 20ème siècle. Par contraste, la pandémie de la « grippe espagnole » est bien plus léthale.
La vitesse de propagation de la Covid de 1889 l’apparente au Covid-19. Alors que le pic de l’épidémie est atteint à Saint-Pétersbourg le 1er décembre 1889, il survient aux États-Unis pendant la semaine du 12 janvier 1890. L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont touchées en mars 1890. Au printemps 1890, l’influenza a gagné l’Afrique et l’Asie. Des Africains qui n’ont jamais connu de grippe de leur vie l’appellent « la maladie de l’homme blanc ». Des répliques épidémiques se produiront jusqu’à la fin du siècle. Bilan global : 250 000 décès en Europe, où la proportion des personnes ayant été en contact avec le virus aurait été de l’ordre de 40 % à 60 %
Malgré tout, les scientifiques de l’époque décèlent certaines conséquences surprenantes : des doigts gonflés, des problèmes rénaux et digestifs, une mortalité accrue chez les plus de 65 ans. Et cette grippe russe est extrêmement contagieuse et peut engendrer des complications neurologiques. Il sera établi très rapidement, fin janvier 1890 qu’il ne s’agit pas d’une grippe.
La France lors de la grippe russe
À Noël, la France est très touchée. À Paris, les hôpitaux sont saturés et des baraquements extérieurs sont construits pour recevoir les patients. Cela alors qu’il ne fait que huit degrés dehors. Début janvier, toutes les grandes villes font face à l’épidémie. Les établissements scolaires sont fermés et l’armée est réquisitionnée pour faire face à la crise.
2 Plusieurs vagues mais il ne s’ agit que d‘un rhume après 1895
https://gallica.bnf.fr/ark :/12148/bpt6k6488901c/f346.item
https://gallica.bnf.fr/ark :/12148/bpt6k6488901c/f346.item
https://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_1993_num_81_298_3758#pharm_0035-2349_
La pandémie de « grippe russe » se propage a une vitesse incroyable mais se termine rapidement au printemps 1890.
au printemps 1891, l’hiver 1891-1892, l’hiver 1893-1894, voire au printemps 1895.
https://www.forbes.com/sites/alexknapp/2020/05/15/the-original-plandemic-unmasking-the-e
https://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1989_num_44_6_3528
https://www.vidal.fr/actualites/26269-pandemie-de-grippe-russe-une-covid-du-xixe-siecle.html
On peut très bien avoir eu une covid pas obligatoirement symptomatique, ne pas développer d’anticorps, avoir été négatif à toutes les pcr du monde et… disposer de cellules mémoires à toutes épreuves qui ont flingué immédiatement la maladie.
PAS BESOIN D’INJECTION VOUS ETES BETON mais à la condition d’avoir attrapé le virus oc43 devenu depuis un gros rhume… D’après les études d’horloge moléculaire, son émergence serait relativement récente, leur ancêtre commun le plus récent étant daté de 1890 environ
Bon, c’est trop compliqué pour les journalistes. Raoult avait expliqué le rôle de l’immunité naturelle apportée par un contact avec d’autres coronavirus devenus de simples rhumes inoffensifs.
On savait déjà qu’être enrhumé protégeait de la covid, mais avoir eu le oc43 c’est naturel et il a de la mémoire.
Pour en savoir plus -avec les graphiques :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/panique-chez-pfizer-omicron-237814