Message du Dr Louis Fouché, du Pr Mattias DESMET et du Dr Michel de Lorgeril
« Si vous n’êtes pas d’accord, ne vous laissez pas faire.
Vous êtes dans un état de droit et c’est parce que l’on accepte de l’abandonner qu’il disparaît. Il faut rester calmes, patients. Le temps du droit n’est pas le temps des médias et de la politique. Cette patience est avantageuse, elle amène souvent à pacifier les choses.
Si vous êtes fouetté comme une balle de flipper dans une rampe puis dans une autre à chaque annonce gouvernementale, vous allez vous creuser votre ulcère, vous péter une coronaire et ça va mal finir.
Soyez donc calmes et déterminés. Le droit vous protégera. Il y aura peut-être des moments un peu difficiles où vous pourrez vous mettre en tension avec l’école et avec votre employeur mais vous ne le faites pas pour rien. Vous le faites pour rester libres ! Que ce pays reste libre pour nos enfants !
Cette intention-là doit dépasser ces quelques semaines, ces quelques mois qui pourront être difficiles à vivre. Parce que nous sommes en train de porter un avenir de liberté quand les gens au pouvoir sont en train de nous emmener doucement et tranquillement vers un totalitarisme soft dans lequel certains vont s’engouffrer par confort et paresse ».
Ne soyez ni paresseux ni confortables. Le prix de la liberté n’est pas confortable, elle n’a aucun prix. »
L’humain libre est celui qui n’écoute que sa conscience dans toutes les circonstances de sa vie, et qui ne se laisse jamais conditionnée sous aucun prétexte, pas de récompense servile à une autorité qui ne veut que des gens conformes.
Il faut que le peuple puisse démontrer clairement que le pouvoir en place est le plus grand diffuseur et producteur de faks-news aujourd’hui ;
Si ça vous intéresse, vous trouverez ci-dessous, le long passé judiciaire de Pfizer, une boite connue pour ses innombrables condamnations, corruptions, trucage d’essais, homicides involontaires… et sur le lesquelles les médias vendus ne se sont pas arrêté, et tout à coup, Pfizer serait devenir le bienfaiteur désintéressé de l’humanité ?
Louis Fouché
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Message du Pr Mattias DESMET
Psychologue clinicien ; expert en psychologie sur la tyrannie, le totalitarisme et l’hypnose de masse
Très intéressant Interview pour comprendre comment une large part de la population demeure encore aveugle
https://www.youtube.com/watch?v=uH3tQCq2yZM
vidéo en néerlandais sous-titrée en français
Un court texte qui tente d’expliquer ce qu’il se passe
« La situation dans laquelle nous sommes… nous ne pouvons pas lâcher !
« Le professeur Mattias Desmet, le principal expert en psychologie sur la tyrannie et le totalitarisme et sur la manière dont se forme l’hypnose de masse.
« Les parents qui vaccinent leurs enfants avec tant d’empressement entrent dans la conscience de la foule que l’on appelle « formation de masse ». Ce changement social a lieu lorsqu’il y a ou a eu une période de peur flottante, et c’est une étape sur la voie d’un État totalitaire.
Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population. Ce n’est pas la même chose qu’une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais…
Le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir « pour le bien du collectif ».
Nous voyons cette formation de masse trouver une nouvelle solidarité, regroupée en un collectif. Elle leur apporte une solution à leur peur. Le récit et l’idéologie entourant la pandémie et les vaccins sont devenus « l’objet de la peur », où la peur libre a trouvé une cible, un objet.
Tout ce qu’ils savent, c’est que leur peur a disparu et qu’ils ont maintenant une réponse à leur peur, un nouveau sens et un nouveau sentiment de solidarité. Ils sont transformés lorsque cela se produit.
Ils ne sont plus rationnels et n’ont plus l’esprit critique qu’ils avaient autrefois. C’est pourquoi nous connaissons tous des amis qui étaient autrefois très intelligents et compatissants, mais qui sont devenus plus stupides et ne veulent plus écouter d’autres voix. Ils sont intolérants, voire méchants ou cruels.
Dans l’hypnose, la focalisation se réduit de plus en plus jusqu’à ce que la personne ne puisse plus voir, au-delà de sa vision très étroite, ce qui est réel.
La formation de masse nécessite 4 conditions à la fois pour avoir lieu.
C’est maintenant chose faite. La peur et l’isolement que beaucoup ont ressenti avant et pendant la pandémie ont trouvé leur parfait « objet de peur » et sont fermement ancrés dans le récit de la pandémie et des vaccins. Ils ne peuvent tolérer ou permettre la dissidence ou une voix différente et ne veulent même pas entendre de questionnement. Lorsqu’ils se réveilleront, leur « peur terrible » reviendra et les dirigeants des masses ne peuvent pas non plus permettre aux masses de se réveiller, car lorsque les masses se réveilleront et verront les vrais dommages et les pertes, elles seront en colère contre ceux qui ont causé les dommages et tueront probablement ces dirigeants. Dans l’histoire, les organisateurs d’une formation de masse sont toujours tués par ceux qui sont hypnotisés une fois et qui se réveillent et voient à nouveau le monde réel.
Il s’agit actuellement d’une crise sociale, et nous avons un rôle à jouer.
Le professeur Desmet explique :
30% des gens sont profondément hypnotisés.
40 % ne le sont pas mais suivent les masses. Lorsque ces 40% cesseront d’entendre la dissidence de la raison, ils s’uniront aux hypnotisés pour les suivre.
Nous sommes la dernière partie: les 30% qui ne peuvent pas être hypnotisés ; nous devons continuer à nous exprimer.
Dans le totalitarisme, lorsque les dernières voix dissidentes abandonnent et se taisent, les masses commencent à commettre des atrocités au nom de la solidarité et du collectif.
Les 30% de non-hypnotisés sont un mélange de différents groupes et de diverses religions et politiques. Si nous ne trouvons pas de terrain d’entente pour nous unir, nous perdons et sans les voix courageuses et persistantes des dissidents, les 40 % se renversent.
Le professeur Desmet affirme que l’hypnose et la formation de masse qu’il observe actuellement sont un état qui mène clairement au totalitarisme.
Dans un État totalitaire, des personnes autrefois normales commettent des atrocités en croyant qu’elles sont justes.
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Message du Dr Michel de Lorgeril
Informations (ou désinformations) sur les traitements antiCOVID et risque juridique
Dans un très bel article
https://www.medscape.com/viewarticle/963757_2
publié dans un média professionnel américain, le so-called Medscape, des juristes expliquent aux collègues américains tous les risques qu’ils prennent à divulguer ou diffuser des informations biaisées sur les traitements antiCOVID, y compris les vaccins.
Par « informations biaisées », ces juristes veulent dire des « données non prouvées » et par « non prouvées », ils veulent dire : non prouvées par les méthodes scientifiques généralement exigées par les autorités sanitaires nationales et internationales.
Voilà une approche qui est au cœur de la problématique COVID-19.
Nous ne saurions détourner les yeux de ce qui va être dans les mois à venir (mais pas avant les élections présidentielles en France) un des aspects les plus critiques de la crise sanitaire.
Dans ce message, je ne vais pas discuter tous les aspects possibles de cette problématique.
Je laisse de côté, par exemple, les traitements curatifs comme la chloroquine ou l’ivermectine bien que ce soit visiblement la principale préoccupation de nos deux juristes américains.
Je me focalise sur les vaccins antiCOVID avec une question princeps : les académiciens et universitaires qui ne tarissent pas concernant l’efficacité des vaccins antiCOVID diffusent-ils une information « prouvée » ou une désinformation avérée ?
Il est assez aisé de répondre !
Les autorités sanitaires internationales (et nationales) exigent pour autoriser la mise sur le marché d’un produit de santé que l’industriel présente des données d‘essais cliniques randomisés (contre placebo) et conduits en double aveugle !
Les façons de procéder sont assez bien résumées dans de nombreux articles de méthodologie. J’en donne un exemple [Moher D,et al. ConSORT 2010 explanation and elaboration: updated guidelines for reporting parallel group randomised trials. BMJ 2010;340:c869] mais on peut faire mieux et plus simple.
Un point crucial est le principe du double aveugle qui comprend l’impossibilité pour les participants et les intervenants de reconnaître quel est le produit testé par rapport au placebo.
Je ne vais pas analyser toutes les informations concernant tous les vaccins antiCOVID mais rester sur celui qui est le plus souvent administré aux populations Européennes, le vaccin Pfizer.
Dans le Livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 », j’ai décrit le seul essai clinique raisonnablement conduit qui ait testé le vaccin Pfizer. Chacun peut vérifier mes dires : l’essai qui a testé ce vaccin n’a pas été conduit en double aveugle.
En conséquence, les résultats prétendant que ce vaccin est efficace à 95% ne sont pas démontrés par les méthodes scientifiques généralement exigées par les autorités sanitaires nationales et internationales.
C’est absolument évident pour n’importe quel professionnel qui sait lire l’anglais.
Mais si ce 95% d’efficacité n’est pas démontré, quelle démonstration alternative avons-nous ? Quel pourcentage d’efficacité peut-on défendre malgré tout sur une base scientifique crédible ?
De façon scientifique, aucune. Nous sommes ainsi dans le plus grand embarras !
En conséquence, tout professionnel qui diffuse (divulgue) l’information que le vaccin Pfizer diminue de 95% le risque de COVID-19 risque, selon nos deux juristes américains, d’être poursuivi devant un tribunal américain !
Chaque jour qui passe confirme que cette efficacité de 95% est un leurre qui ne pouvait abuser que des incompétents.
Par exemple, une très forte couverture (plus de 70% de la population éligible) avec ce vaccin Pfizer n’a pas empêché une forte 4ème vague en Israël avec une mortalité plus ou moins équivalente à celle des vagues précédentes avant qu’on vaccine !
Bref, clamer ce 95% d’efficacité est de la désinformation !
Je ne vais pas reprendre l’argumentaire de nos prestigieux juristes mais je recopie au moins un de leurs paragraphes :
« Physicians who generate and spread COVID-19 vaccine misinformation or disinformation are risking disciplinary action by state medical boards, including the suspension or revocation of their medical license. »
Pour ces juristes, diffuser des désinformations sur les vaccins antiCOVID pourrait coûter cher comme la perte du droit de pratiquer.
Ils vont plus loin en écrivant que, du fait de cette désinformation, des victimes de ces produits de santé (on pense aux effets indésirables des vaccins antiCOVID) pourraient poursuivre au criminel…
Je m’arrête là sachant que dans nos sociétés civilisées, les puissants disposent face à la Justice de moyens qui sont inconnus au commun des mortels. Telle est la dure Loi du plus fort !
Peut-on mieux illustrer cette évidence qu’avec un peu de musique lyrique ? Des clowns, des clowns partout !
« Seule l’innocence m’escorte ; en attendant le naufrage… »