Le monde de maintenant

Quelques banalités de base

Il paraît clair aujourd’hui – sauf pour les étourdis, les naïfs et les niais ! – que la crise sanitaire n’en est pas une. L’objectif ultime du pouvoir n’est pas de soigner qui que ce soit. Depuis le début il nous est tambouriné que nous sommes en guerre. Que le virus est d’une extrême gravité. Nous avons été confinés pendant des mois. Nous avons eu droit au couvre feu, au passeport sanitaire. Certains ont été suspendus de leur emploi de soignants. Et j’en passe. Et en même temps, quand quelqu’un était malade du covid la consigne était – et est toujours – de rester chez soi avec des cachets de doliprane. C’est à dire sans soins particuliers et sans suivi par une personne de l’art. Les médecins (de ville) ont consigne de ne pas intervenir auprès des malades du covid qui doivent aller aux urgences au cas où cela s’aggrave. Du jamais vu ! Quand on repense à ces incohérences avec du recul on se rend compte que quelque chose ne va pas. Incohérence involontaire par bêtise ou ignorance ? Ou bien y a-t-il là des mesures stratégiquement cohérentes ? Par ailleurs, les mensonges se sont accumulés. Parfois énormes ; d’autres fois plus subtils. Il est bon de récapituler ce flot de mesures gouvernementales qui nous a submergé et dans lequel beaucoup se sont engloutis.

Ceci n’est pas un vaccin

Les injections de ces thérapies géniques à ARNm ou à ADN n’ont rien de vaccins. Il faut premièrement dire qu’il s’agit de thérapies géniques que, comme l’a avoué un cadre de ces industries de biotechnologies, personne n’aurait acceptées si on les avait présentées comme telles. Depuis les luttes contre les OGM des années 1990 – 2000, ceux-ci n’ont pas bonne presse ; alors il a fallu, pour l’imposer, changer le nom.

Question de mots, me direz-vous ? Certes, mais les mots ont du sens. Parler de vaccins évoque pour la plupart des gens une substance injectée pour prévenir des maladies. C’est la définition du dictionnaire : substance qui confère une immunité contre un germe donné. Immunité = pas malade = non transmission de la maladie des autres vers soi ou de soi vers les autres. Et les maîtres du monde ont donné aux substances injectées le nom de vaccins afin de gagner la confiance du public en leur qualité de prévention. Quand chacun entend le mot : vaccin, il se dit qu’il va être protégé. Normal. C’est pourquoi il faut tant de temps pour que les gens acceptent que ces …vaccins ne protègent pas contre la maladie, contre la transmission du virus du covid. Quand ils parviennent à le comprendre – car c’est un fait objectivement reconnu maintenant par tous les spécialistes.

Quand on a déjà pris deux doses pour aller et venir ( au bistrot, aux concerts, etc ) on peine à s’avouer – et à avouer aux autres – qu’on s’est fait rouler ; on préfère une justification que, d’ailleurs, le pouvoir s’est empressé de répandre : « on ne savait pas, on navigue à vue, on fait avec les vaccins qu’on a, etc. » L’habileté des manipulateurs a été telle que maintenant cette idée étrange que les injections ont une (petite) efficacité est bien enfoncée dans les esprits. Malgré son manque évident de logique.

Il a été nécessaire que les autorités serinent fréquemment que les ‘gestes barrières’ étaient indispensables – ce qui n’allait pas de soi pour des gens qui se pensaient vraiment vaccinés. On se souvient de ce retraité qui a intenté en mars 2021 un procès contre le ministre de la santé parce que celui-ci obligeait alors au port du masque. Le ministère avait répondu que …le vaccin n’offrant pas une couverture immunitaire (suffisante), il le fallait. C’était le premier aveu officiel (mais peu diffusé dans les médias) d’impuissance du vaccin en France.

D’autres allaient suivre mais en catimini. En même temps, une multitude de messages publicitaires indiquaient : « tous vaccinés, tous protégés ! »

L’objectif de mettre l’idée d’un vaccin qui ne fonctionne pas dans les esprits – idée tout de même surprenante ! – a été atteint, et au-delà, puisque beaucoup acceptent l’idée qu’ils doivent se protéger des non injectés … bien qu’ils soient censés être vaccinés – notamment grâce aux interdictions régissant la vie de ceux-ci ! – Comme si les non vaccinés étaient les (seuls) réservoirs de germes du covid ambulants. On admettra qu’il faut avoir subi un sacré lavage de cerveau pour en arriver là. Mais dans le monde de maintenant ces idées branlantes tellement ressassées à la télé et sur les ondes sont devenues des credos très répandus.

Citations :

Prof. Claverie (virologue) : « On se rend bien compte que le vaccin ne marche pas du tout. On est à 90% de vaccinés en France. Ces 94.000 cas sont pour la plupart des gens vaccinés […] Le vaccin ne marche pas pour empêcher la transmission. Il n’empêchait pas la transmission du variant Delta, mais il fonctionne encore moins bien avec Omicron » sur BFM TV.  

Prof. Stéphane Gayet (infectiologue) : « l’ARNm est une prouesse technologique… inefficace »

Ceci n’est pas une course à l’immunité collective

Insérer « Pancarte sur les allées Paul Riquet de Béziers dans le cadre de Terrasses Libres organisées par des non vaccinés » …dans dossier VIRUS

Un fait avéré mais bien oublié : Les professeurs dans la manche du pouvoir comme Karine Lacombe prévoyaient que 50 % de vaccinés dans une population donnée lui conférerait l’immunité collective (janvier 2021). Non moins avéré : au fur et à mesure que la vaccination avançait en France ces gens-là ont progressivement revu leur pourcentage à la hausse. Ce fut ensuite 70 % puis 80 % et dans le monde de maintenant plus personne ne s’aventure à dire quelque nombre que ce soit car, tout ce qui avait été dit étant faux, il devenait farfelu de pousser le bouchon des prédictions plus loin. Nous en sommes aujourd’hui à 77 % de vaccinés dans la population totale et l’immunité collective est plus lointaine qu’elle ne l’a jamais été.

Rappelons-nous que, dès les débuts du passeport sanitaire, l’objectif proclamé par Macron est d’atteindre l’immunité collective. De toute évidence, le fait que le virus continue à circuler en dépit de la vaccination massive n’avait pas été pris en compte. Au départ, par ignorance. Et, bien entendu, cette circulation plus importante qu’on ne veut l’avouer – puisqu’il faut bien que les injections aient quelques vertus – empêche d’atteindre l’immunité collective.

Ceci n’est pas la liberté

« Avec le passeport sanitaire, c’est la liberté retrouvée ! » radotent à la suite de Véran et son haut parleur Attal, les piquouzés qui ont trouvé là une façon de se défausser de leur couardise. De rendre la honte (qu’ils éprouvent parfois) un peu moins honteuse. Incroyable fadaise ! Qu’il faudrait éviter de proférer devant un soignant suspendu pour ne pas s’être fait injecter – ce serait indécent. Ou une des nombreuses victimes de l’ignominieux passeport sanitaire, qui ne peuvent se rendre dans leurs lieux de divertissement ou même à leur boulot (garçons de café, par exemple). La pression que subissent de nombreuses personnes ressemble plus à une dictature (encore) ‘douce’ (…pour le moment) qu’à la liberté.

Quand le gouvernement argue que la liberté, c’est le fait que les bars et restaurants puissent (enfin !) rouvrir pour justifier le passeport sanitaire, c’est une vaste fumisterie que certains des petits patrons de bistrot dénoncent d’ailleurs. Plus ou moins ouvertement car il ne fait pas bon critiquer les mesures gouvernementales par les temps qui courent. Preuve encore que la liberté …

Ceci n’est pas une maladie grave …pourvu qu’on la soigne à temps !

Tout se passe dans la bouche des ministres et dans les médias à gros débits, grassement subventionnés comme si les traitements précoces de cette maladie n’existaient pas. Comme c’est étrange ! Citons le Prix Nobel de physiologie-médecine 2015, Satoshi Ōmura, biochimiste japonais, docteur en pharmacie & docteur ès-sciences, découvreur de nouveaux médicaments anticancers, qui dit : « Interdire l’ivermectine contre la Covid, c’est comme s’opposer à la pénicilline au moment de sa découverte ». Voyons les faits : des populations nombreuses ont été soignées grâce à ces traitements précoces dont l’ivermectine. Seul problème : il y a toujours des médecins pour rétorquer avec aplomb : « mais non, vous avez guéri tout seul, le médicament n’y a rien fait. » Quelle insolence, ce B. Mégarbane !

En Inde des centaines de millions de personnes ont été soignées avec l’ivermectine en mai 2021. Certains des États de ce pays fédéral, comme le Kérala, qui l’avaient interdite et promu la vaccination, se sont retrouvés avec les taux les plus hauts d’hospitalisations et de décès du pays. Les factechaiqueurs du monde entier se sont précipités pour trouver une interprétation à leur avantage. Difficile entreprise, à vrai dire. Mais tenir le silence le plus profond autour de ces faits est l’option la plus simple pour eux. Raison pour laquelle on n’entend plus parler dans la plupart des médias de ces remèdes efficaces.

Inutile de rappeler qu’il est difficile d’ordonner de l’ivermectine pour les médecins de ville. Courant décembre l’infâme Véran a même interdit l’usage d’un antibiotique très couramment utilisé contre le covid : l’azithromycine. Celui-ci était recommandé pour compléter l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine en cas de surinfection bactérienne.

À l’opposé, le gouvernement français a acheté sans sourciller un lot de 50 000 doses hors de prix d’un remède supposé anticovid. Et « la Haute Autorité de santé (HAS) a refusé d’accorder une autorisation d’accès précoce [à ce] molnupiravir, un traitement antiviral contre le Covid-19 développé par le laboratoire Merck (MSD France) »  …quelques jours après. Toute ressemblance avec le remdesivir est, bien entendu, fortuite – cette autre molécule qu’une majorité des membres du fameux « Conseil Scientifique » macronien trouvait fort efficace et dont l’UE acheta des doses pour quatre milliards d’euros fut reconnue peu de temps après comme inefficace et, de plus, très nocive.

Il est formidable, le monde de maintenant ?

Ceci n’est pas une décision impartiale

La consternation est immense quand on se remémore la réponse du Conseil d’État statuant sur la loi instituant le passeport sanitaire. « Si celui-ci, dirent-ils, sert à contraindre les gens à se faire vacciner alors ce n’est pas constitutionnel. Mais comme ce n’est pas le cas… » Quel cynisme ! On ne compte plus les discours dans lesquels Macron ou ses ministres ont dit et répété que c’est bien cela la fonction du passeport vaccinal. Macron l’a tambouriné dans son discours du 12 juillet, Castex et Véran l’ont redit. «Le passe vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale, mais c’est plus efficace qu’une obligation vaccinale», assume Olivier Véran le 18/12/2021. Le Conseil d’État, après ces déclarations, n’entend rien, ne comprend rien ; il valide la prolongation du passe sanitaire en violant sa propre justification de sa jurisprudence. Mais de qui se moquent ces gens ? Les membres du Conseil d’État exercent-ils leurs fonctions « en toute indépendance, dignité, impartialité, intégrité et probité » comme écrit dans les textes ? le mensonge n’a jamais été aussi patent. Ainsi va le monde de maintenant.

Ceci n’est pas un discours rationnel

Le manque de cohérence des mesures est-il simplement une conséquence de l’incapacité de ces gens au pouvoir à ‘gérer’ la crise ? Certains l’avancent. Difficile pour nous de penser qu’ils ne sont qu’un ramassis d’imbéciles incapables ! Il vaut mieux admettre qu’ils savent ce qu’ils font et pourquoi ils le font… même s’ils ne le disent pas. Que ceux qui pensent que la politique ( …la politicaillerie ) n’est pas faite AUSSI de ce genre d’opération jettent la première pierre …complotiste ! Bien sûr : comme ils savent ce qu’ils font il nous revient – à nous – de mettre leurs motivations en lumière.

Ceci étant dit, les mesures sont à ce point absurdes parfois qu’on peut se poser des questions sur leurs facultés mentales. Comment penser effectivement que les contaminations à l’hôpital où personne n’entre sans passe sont le fait des non injectés ? Comment justifier d’imposer aux non injectés d’entrer dans certains lieux à condition de montrer un test négatif alors que les injectés peuvent y accéder sans cette condition puisqu’on sait depuis des mois que les uns et les autres peuvent ÉGALEMENT être contaminés par le covid ? Et ces absurdités durent depuis si longtemps qu’on ne peut mettre cela sur le dos d’une ignorance passagère ! Aujourd’hui, devant la croissance rapide des contaminations au variant omicron ils veulent imposer un passeport vaccinal, instaurant encore un distinguo entre injectés et non injectés ! À croire que, quand ils auront réussi à injecter 100 % de la population, ils incrimineront malgré tout les double injectés (quand ils auront décidé que trois doses sont nécessaires) puis les triples (quand il leur en faudra quatre) et ainsi de suite. À l’infini. Sans jamais se demander si les injections ont quelque efficacité. Tel est le monde maintenant.

Mais que dire de ceux qui les suivent servilement ?

Ceci est un rassemblement de bonimenteurs et de manipulateurs.

Exemple de mensonge : le président de Bio n Tech Ugur Sahin dit en titre d’un article du Monde : « Même les triples vaccinés sont susceptibles de transmettre le covid 19 ». Puis, gêné par cet aveu, le journal change le titre de son édition numérique, qui devient : « Après la 3° injection, notre vaccin semble fournir une protection de 70 % à 75 % » À part le titre, rien n’a changé dans le contenu de l’article ! La différence n’est pas mince entre les deux titres pourtant, on peut se demander comment on peut mettre ces deux titres si différents à un même article. Manipulation ?

« Jamais je n’ai vécu une distorsion aussi grande entre la réalité clinique du terrain et le portrait apocalyptique qu’on nous en dresse dans les medias. » déclare un médecin. Et Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’Inserm, de renchérir : « on assiste au plus grand mensonge de tous les temps ! »

À tous les moments de cette crise supposément sanitaire le pouvoir – que ce soit Macron ou sa troupe de ministres – a menti. À tel point que certains avaient admis qu’à partir du moment où ils disaient : « Nous ne ferons pas ceci » on pouvait illico en conclure qu’ils le feraient.

Souvenons-nous : Les masques étaient inutiles (N’Diaye). Les hôpitaux étaient censés être préparés pour l’épidémie (Buzyn). Dès janvier 2 020. Les tests étaient inutiles aussi. Puis …pas de passeport sanitaire, pas de discrimination (Macron). Pas de passe pour des activités de base comme bistrot, restau, loisir (Macron). Le pass est transitoire et n’ira pas au-delà du 15 novembre (Castex, Véran). Pas de vaccination obligatoire (Macron). Le passe sanitaire est acquis et ne sera pas conditionné par la troisième dose (Véran)

Tous ces mensonges sont devenus dans le monde de maintenant des vérités pour la partie la plus abasourdie de la population.

Le constat est alarmant. Un peuple gouverné par la peur est capable de tout accepter (Machiavel).

Se souvient-on de toutes ces affirmations qui ont été ensuite contredites par leurs auteurs ? Certains s’en souviennent mais beaucoup oublient, poussés par le flot des déclarations alarmistes qui balaient les souvenirs rassurants. La peur, encore la peur. Certains auteurs parlent de la mémoire de poisson rouge de nos contemporains. Factuellement c’est vrai, la société de masse pousse à cela. Mais il ne faut pas négliger le fait qu’on a poussé les gens à oublier par des injonctions répétées frénétiquement.

D’autres pour défendre les autorités dirent que ces revirements fréquents étaient la conséquence des changements imprévisibles de l’épidémie, que celles-ci ne faisaient que suivre, contraints et forcés, les nécessités de la pandémie ne cessant d’évoluer. Pour autant, la déclaration de Macron sur son opposition au passeport sanitaire, par exemple, était énoncé comme une position… de principe ! Donc non sujette à être modifiée. Et pourtant, il a changé radicalement d’opinion. Par ailleurs, on ne peut pas dire que les simagrées de N’Diaye montrant, gestes à l’appui, que le masque ne servait à rien, ait dissimulé le fait patent que… en fait, il n’y avait pas (ou plus) de masques disponibles ! Le passe censé être transitoire n’ira pas au-delà du 15 novembre : le duo Castex-Véran l’a martelé à l’Assemblée Nationale pour déclarer le contraire un mois après seulement. Là encore, rien de nouveau ne s’était produit entre-temps mais les événements se sont enchaînés avec pour effet de pérenniser le passe qui était manifestement le but à atteindre.

Impossible d’admettre que c’est, poussés par les conditions sanitaires, qu’ils ont changé d’avis.

On peut raisonnablement émettre l’hypothèse qu’ils n’ont pas changé d’avis, que leurs diverses mesures s’enchaînaient dans une stratégie globale. Postulat que leurs partisans ne peuvent que qualifier de complotiste puisqu’ils pensent impossible que les gouvernants aient pour objectif d’amener les gens à accepter des contraintes qu’ils refuseraient autrement. Ceci est pourtant l’objet de maints « cabinets de conseil » dont ils paient grassement les services – par exemple Mc Kinsley engagé par Macron pour la gestion du covid. Voilà une engeance pour laquelle le néologisme « acceptabilité » ( = rendre une mesure acceptable) a un sens et constitue le cœur de leurs activités de conseil.

Pour en savoir beaucoup plus :

https://faut-le-dire.fr/index.php/2021/12/31/le-monde-de-maintenant-3/