Les grands entretiens de l’AIMSIB
Nous vivons des temps troublés en Médecine et en Santé Publique. Une radiation du Pr Henri Joyeux prononcée par une Instance Disciplinaire Régionale suivie d’un Appel par le Conseil Départemental à l’origine même de la plainte, une Concertation Citoyenne sur la vaccination dont les conclusions ont semé plus de confusions que de certitudes, une irruption de la grippe saisonnière, puis un débat sans fin sur le maintien, l’abandon ou la généralisation de l’obligation vaccinale…
Emblème de toutes les peurs séculaires, le Tétanos. Une maladie devenue rarissime ( 10 cas par an en France en moyenne) et que le camp des vaccinalistes convaincus saisit fièrement pour démontrer toute l’utilité d’une pratique vaccinale obligatoire. Mais avec une pathogénie si particulière que Françoise JOET en a tiré un ouvrage particulièrement complet quant au peu de chances que cette vaccination soit réellement protectrice quelle que soit la quantité parfois très importante d’anticorps générés comme Michel Georget le signale sur le cas Slovaque où, de 1978 à 1986, sur 28 cas de Tétanos 20 étaient intervenus sur des patients correctement vaccinés.
Dr Vincent Reliquet : Selon vous, la vaccination antitétanique est un leurre absolu et votre position paraît totalement irresponsable à certains de vos détracteurs, quel message initial souhaiteriez-vous faire passer aujourd’hui ?
Michel Georget : Ma position est claire, rigide peut-être, mais dans la mesure où aucune vaccination n’a montré de façon certaine qu’elle est protectrice (voir les nombreuses épidémies dans des populations bien vaccinées y compris pour le tétanos même s’il n’est pas contagieux), faut-il courir un risque pour obtenir une protection incertaine ?
J’ajoute cet exemple que je relate dans mon premier livre : le fumier est bien connu pour véhiculer le tétanos. Or, le syndicat des champignonnistes de la région parisienne, qui dans les années 1960 employait encore un millier de personnes (mais beaucoup plus avant), n’a jamais connu un seul cas de tétanos depuis sa fondation un siècle auparavant. Pourtant ces ouvriers manipulent du fumier à longueur de temps, se blessent de temps à autre sans toujours prendre des précautions de désinfection. Si on les avait vaccinés, c’eut été un triomphe pour la vaccination, mais il n’y avait pas de vaccin antitétanique en 1860 !
Françoise Joët : Le vaccin antitétanique est né à la suite d’une seule et unique expérience réalisée par Le Pr RAMON dans les années 20. Or cette expérience était faussée car elle ne prenait pas en compte les conditions nécessaires à la maladie, à savoir : l’anaérobiose. Une seule expérience, cela semble bien léger pour pouvoir affirmer que le vaccin (l’anatoxine) est efficace. Il est tout à fait étonnant que depuis, aucune expérience n’ait été faite qui aurait permis de comprendre que la production d’anticorps antitétaniques dans le sang ne pouvait en rien protéger contre un bacille anaérobie. En outre, cette maladie est non immunisante (de nombreuses observations l’ont prouvé), le mode d’action des anticorps vaccinaux est donc inopérant. Le vaccin ne joue aucun rôle, ni curatif ni préventif, dans la maladie tétanos. La médecine dans le cas du vaccin antitétanique s’est contentée de peu et a manqué véritablement de rigueur scientifique.
Dr Vincent Reliquet : Le tétanos néo-natal est une réalité abominable particulièrement en Afrique sub-saharienne où les soins du cordon sont encore régulièrement réalisés avec du matériel souillé par Clostridium Tetani. L’Europe de l’Ouest en revanche, avec ses standards d’hygiène avancés, échappe complètement à toute pénétration du Tétanos dans sa population pédiatrique. Les enfants qui ne sont pas systématiquement vaccinés (Allemagne, Danemark, Angleterre, Pays-Bas, Suède…) développent-ils plus de Tétanos qu’en France ?
Michel Georget : Le tétanos néonatal est effectivement un problème majeur dans les pays en voie de développement où l’hygiène de l’accouchement fait défaut.
L’idée qui prévaut pour contrer les effets de ce manque d’hygiène est de vacciner les femmes avant, voire pendant, la grossesse afin que les anticorps formés par la mère traversent le placenta et protègent le nourrisson. Malheureusement il semble bien que ce soit un échec car le tétanos néonatal se rencontre même lorsque la mère a des taux élevés d’anticorps. C’est ce qu’a révélé une étude conduite dans un hôpital de Tanzanie à propos de 10 cas de tétanos néonatal. 9 d’entre eux avaient un taux d’anticorps très supérieur au seuil considéré comme protecteur. Un seul était en dessous de ce seuil bien que sa mère ait reçu une dose vaccinale. A l’inverse, l’un des nourrissons dont la mère n’avait reçu aucune vaccination, avait un taux d’anticorps 4 fois plus élevé que le seuil et il a néanmoins fait un tétanos.
Cette absence de protection a été confirmée par une autre étude faite au Nigéria.
L’OMS a édité un opuscule « l’élimination du tétanos néonatal, proche ou lointaine ? » dans lequel on apprend par exemple que la Chine a réduit de 90 % ce fléau grâce à la stratégie des trois propres (mains, cordon ombilical, table d’accouchement) et qu’en Haïti, grâce à un programme de formation des accoucheuses traditionnelles, le tétanos néonatal a régressé de 70 % avant la mise en place de la vaccination.
Le plus intéressant dans cet opuscule est cette conclusion : « l’avantage de l’accouchement hygiénique sur la vaccination à l’anatoxine tétanique est qu’il diminue l’incidence de toutes les infections infantiles. »
Françoise Joët : Je ne répéterai pas ce que Mr GEORGET a fort bien expliqué dans sa réponse, je souscris tout à fait à ses propos. Le problème du tétanos néonatal est essentiellement lié à l’insalubrité. L’exemple de la Chine qui a pris des mesures pour améliorer l’hygiène des accouchements, montre bien que le tétanos du nouveau-né disparaît avec l’asepsie, surtout s’il s’accompagne d’une bonne alimentation, particulièrement dans les contrées où sévissent, en plus, des pathologies infectieuses ou parasitaires ainsi que la malnutrition, tous éléments qui affaiblissent l’organisme.
Il n’y a pas plus de tétanos dans les pays qui ne vaccinent pas systématiquement contre cette maladie, c’est même plutôt le contraire. Les statistiques de l’OMS montrent par exemple, qu’entre 1962 et 1965, l’Angleterre qui ne vaccinait presque pas, comptait beaucoup moins de cas de tétanos qu’en France où la vaccination était obligatoire : une vingtaine de morts en Angleterre contre 300 environ en France !
Dr Vincent Reliquet : L’Académie de Médecine a refusé de reconnaître la validité d’un traitement curatif du Tétanos (comme de la Diphtérie et de la Poliomyélite d’ailleurs) au motif que diffuser cette connaissance pouvait freiner le développement de la vaccination obligatoire… C’était en France en 1944, temps troublés, que savons-nous des possibilités du Chlorure de Magnésium aujourd’hui dans le traitement curatif de ces trois maladies?
Michel Georget : Je ne connais pas d’études récentes qui auraient été conduites à ce sujet.
En revanche le rôle des ions magnésium est connu depuis bien longtemps puisque dès 1906 des tentatives avaient été faites pour traiter le tétanos avec du sulfate de magnésium. Le traitement le plus connu est celui par le chlorure de magnésium mis en oeuvre par le Dr Fumeron à l’hôpital de St Jean d’Angély en Charente Maritime.
Mais pourquoi toujours le magnésium ? En 1980 un auteur indien a montré une corrélation entre la baisse du magnésium sanguin et la gravité du tétanos. D’autres auteurs ont montré en 1985 que le magnésium améliore les perturbations cardio-vasculaires dues à des taux élevés d’adrénaline car il inhibe la libération de l’adrénaline par les surrénales et le système nerveux orthosympathique.
Le magnésium, en diminuant l’excitabilité neuronale, entraînerait un relâchement musculaire, d’autant qu’il inhibe également la libération d’acétylcholine, le neuromédiateur que libèrent les fibres nerveuses aux fibres musculaires pour les faire se contracter. Le magnésium est d’ailleurs utilisé dans le traitement de certaines convulsions comme celles de l’éclampsie.
Françoise Joët : Comme le dit très bien Mr GEORGET, le magnésium joue un rôle très important dans les phénomènes nerveux. Le Pr DELBET lui-même, avant de présenter à l’Académie les travaux du Dr NEVEU sur le chlorure de magnésium dans le traitement de la diphtérie mais aussi du tétanos et de la polio, avait observé les vertus du magnésium dans plusieurs pathologies. Dans le cas d’un tétanos déclaré, le chlorure de magnésium va engendrer très rapidement une décontraction, un relâchement des muscles et une mobilité. Mais il faut l’administrer sous forme injectable et en respectant tout un protocole. Même si on ne peut aujourd’hui expliquer de façon très précise les mécanismes mis en jeu, il est incontestable que le chlorure de magnésium apporte une solution face au tétanos, à la diphtérie et à la polio et sans doute face à de nombreuses autres pathologies. Pour mieux savoir comment il agit sur ces maladies, des études sont à mener de façon approfondie, ce qui aurait dû être fait si le Dr NEVEU, par le biais du Pr DELBET, avait pu se faire entendre en 1944.
Dr Vincent Reliquet : On devrait pour toute vaccination avoir l’honnêteté de rechercher la totalité des effets secondaires attribuables à l’ensemble des matières injectées ce qui éviterait d’alimenter tous les fantasmes et théories conspirationnistes. S’agissant des vaccins encore en vente en France et qui contiennent une valence Tétanos, que savons-nous de leurs effets secondaires en 2017, sont ils correctement étudiés et relevés?
Michel Georget : La pharmacovigilance concernant les effets adverses de la vaccination antitétanique est à l’image de celle concernant les autres vaccinations, c’est-à-dire indigente : 1 à 10 % des accidents sont recensés.
Dans ces conditions comment évaluer correctement ces effets indésirables? De plus, la valence antitétanique étant presque toujours associée à d’autres valences, il devient difficile de faire la part de chacune lors de la survenue d’un effet indésirable.
Françoise Joët : Votre question est primordiale lorsqu’il s’agit de vaccination, car les études à grande échelle sont très souvent biaisées et le suivi des vaccinés inexistant. C’est bien là que le bât blesse. Dans la mesure où depuis des décennies, la propagande officielle clame sans restriction que « VACCINATION=PROTECTION », nous entrons dans le dogme. Dénoncer les dangers des vaccins et contester leur bien-fondé devient impossible. Or, la moindre des choses serait d’imposer aux fabricants au moins les mêmes mesures que celles appliquées aux médicaments. Cependant, une pharmacovigilance exhaustive et fiable pour les vaccins n’existe pas, ce qui est fort dommageable dans le mesure où ils s’adressent à des bien-portants et surtout à des nourrissons, à qui on impose une série impressionnante de stimulations antigéniques dès les premiers mois de la vie.
De surcroit, la production de vaccins recombinants contenant toute sorte d’adjuvants toxiques ne cesse d’augmenter. Or les études avant commercialisation de ces vaccins ne sont pas contrôlées par des organismes indépendants. Elles sont largement insuffisantes, menées de façon très contestable sur des animaux ou sur des populations cobayes, voire parfois tronquées ou falsifiées. Des procédés malhonnêtes peuvent aussi se faire jour, tel la destruction de preuves. Donnons un exemple : une équipe de chercheurs étudiait les effets du vaccin antirougeoleux en Afrique et était sur le point de conclure que le vaccin était plus nocif que bénéfique. Mystérieusement leur laboratoire a été détruit, et ils ne purent jamais publier leurs travaux. Les effets indésirables des vaccins sont bien trop gênants pour le négoce. Pourtant ils sont innombrables y compris en ce qui concerne le vaccin antitétanique.
En imposant des vaccins conjugués, comportant plusieurs valences, on a complexifié le relevé des effets indésirables, le but étant semble-t-il de ne plus pouvoir y voir clair. Ainsi se développent des maladies « post-vaccinales » dont on ne connaît pas la cause et que l’on n’attribuera pas à un vaccin déterminé. La complexité engendre l’impunité et permet ainsi un total laisser-aller : pas de suivi car c’est trop compliqué !
Dr Vincent Reliquet : Hellen Bolte en son temps avait avancé que l’autisme dont souffrait son fils admettait possiblement une origine post-vaccinale et que ses symptômes pouvaient s’apparenter à un Tétanos chronique ou sub-aigu alimenté par une sécrétion digestive de très faibles quantités de toxines directement injectées vers les neurones, a-t-on avancé sur cette idée de l’origine digestive post-vaccinale de certains autismes?
Michel Georget : Ne connaissant pas ces travaux, je vais demander un joker ! La flore microbienne intestinale étant en grande partie anaérobie, les bacilles du tétanos y ont leur place et ils sécrètent sans aucun doute des toxines tétaniques. C’est d’ailleurs pour cette raison que les déjections animales constituant le fumier en contiennent. Cela étant je ne souhaite pas m’aventurer sur un terrain que je ne connais pas. A chacun ses limites!
Françoise Joët : Les recherches sur l’autisme menées notamment par des organismes indépendants, permettent aujourd’hui de mieux cerner les liens entre le cerveau et les intestins, plaque tournante de notre système immunitaire. Il convient de citer les travaux du Dr Andrew WAKEFIELD – pionnier dans ce domaine et fortement vilipendé par ses pairs – qui montrèrent que le virus de la rougeole vaccinale dans les intestins pouvait occasionner des désordres neurologiques. La microbiologiste Hellen BOLTE a apporté ensuite une précision sur le rôle du bacille du tétanos dans ces désordres qu’elle a pu observer chez son fils. Mais ses travaux qui ouvrent un champ d’investigation très intéressant sur le rôle du vaccin antitétanique dans l’autisme régressif, nécessitent d’être plus poussés encore. Plusieurs pages sur Internet sont consacrées à ces recherches ainsi que plusieurs livres, en anglais. Nous recommandons en français celui d’Alanna COLLEN « Nos amies les bactéries » (Edit. JCLattès, 2015) ou celui du Dr David PERLMUTTER « L’intestin au secours du cerveau » (Edit. Marabout, 2015).
Dr Vincent Reliquet : Finalement, au delà du problème de l’obligation vaccinale se pose bien plus simplement la question de la pertinence de la vaccination anti diphtérique, tétanique et poliomyélitique. Votre avis final sur ces trois valences?
Michel Georget : Je serais tenté (et je vais succomber à la tentation!!) de reprendre les termes de la déclaration du Pr Didier Raoult, Professeur de Microbiologie à Marseille, réagissant à la conclusion de la concertation citoyenne sur la vaccination : « L’obligation, qui est discutable, ne relève que de l’idéologie et du mépris des choix individuels […] En tant que spécialiste des maladies infectieuses, je mets au défi qui que ce soit de justifier médicalement ou scientifiquement, l’obligation actuelle de vacciner à trois mois les enfants contre la Diphtérie, le Tétanos, la Poliomyélite. La Diphtérie autochtone a disparu depuis longtemps et le risque du Tétanos à cet âge est inexistant. Quant à la Poliomyélite, depuis trente ans en Europe, toutes les Poliomyélites autochtones sont d’origine vaccinale »
Si un spécialiste le dit…!
Françoise Joët : Les propos du Pr RAOULT rapportés par Mr GEORGET sont édifiants de la part d’un spécialiste. On ne peut que souscrire à ce discours. Cette vaccination DTP systématique qui se pratique depuis bientôt cent ans n’a plus de raison d’être. Ces maladies, qui appartiennent au passé, ont été jugulées par l’hygiène. On ne voit pas pourquoi faire subir des risques d’effets adverses, notamment aux enfants, pour des maladies qu’ils ne développeront pas. Pourquoi stimuler inutilement et artificiellement le système immunitaire en bas âge, si ce n’est pour en perturber les mécanismes ? D’autant qu’hélas ces trois vaccins sont administrés aujourd’hui en association avec jusqu’à 3 valences supplémentaires, sans compter les autres vaccins qui sont souvent injectés le même jour.
Va-t-on pouvoir espérer, vu le scepticisme grandissant des populations, tout à fait justifié, que les vaccinations ne soient plus une priorité, que leur usage soit restreint et uniquement volontaire et que l’on privilégie d’autres voies de recherche plus naturelles et moins perturbatrices pour préserver notre santé ?
Dr Vincent Reliquet : A votre avis, quelle(s) vaccination(s) mérite(ent) d’être conservé(es) à l’avenir, dans l’état actuel de nos connaissances, en 2017 ?
Michel Georget : Aucune vaccination ne peut être imposée sous une forme ou sous une autre. Le choix de vacciner relève de la conscience individuelle et doit être librement consenti, en toute circonstance et quel que soit le type de vaccin. Tous les vaccins comportent des risques. Pourquoi en préconiser certains plutôt que d’autres ? Aucune vaccination ne peut remplacer les mécanismes immunitaires naturels ; elles ne peuvent que les perturber. Alors je n’en garderai aucune.
Je pense que chaque vaccination demande réflexion et c’est à chacun de décider ce qu’il est prêt à accepter après avoir reçu une information aussi complète que possible sur la maladie (gravité, prévalence, séquelles, traitement disponible) et sur le ou les vaccins (mode de fabrication, évaluation de son efficacité et de ses effets indésirables)
Pour ma part, sachant ce que je sais de la complexité des réactions immunitaires il est clair que je n’accepte aucune vaccination, notamment parce que j’ignore si mon identité HLA me permettrait d’y répondre. De plus, l’historique montre que pour toutes les vaccinations il a été observé la survenue de maladies chez les populations parfaitement vaccinées. Alors pourquoi prendre un risque pour tenter de se protéger d’une maladie que l’on ne contracterait peut-être pas ?
Françoise Joët : Je partage tout à fait les propos de Michel Georget. J’ajouterais que, si des vaccinations existent, c’est que depuis leur invention elles jouissent d’une aura particulière : on en a fait les sauveurs de l’humanité que rien ne peut égaler, d’où leur développement et leur énorme commercialisation. Néanmoins, sachant combien elles peuvent être dangereuses, ce qui est hautement contestable, ce n’est pas tant leur existence que les contraintes imposées aux êtres vivants pour leur administration.
L’obligation vaccinale ne devrait pas exister car elle viole toutes les lois qui garantissent les libertés fondamentales, dont celles portant sur l’intégrité physique. Sous la pression de l’action citoyenne, notamment au sein des associations, les officiels, actuellement, ont senti la nécessité de sortir du cadre de la loi difficilement gérable, par des subterfuges : substituer l’obligation légale par une obligation de fait « réglementaire » (comme par exemple n’accepter que les enfants vaccinés dans les collectivités). De fait, cette forme d’obligation indirecte permet toutes les oppressions contre lesquelles les citoyens n’ont plus aucun recours, sauf à entreprendre des procédures juridiques longues, hasardeuses et onéreuses.