Ce sera prochainement ? Le virus n’est pas traité de la même façon dans différents pays !
Chaque jour, des dizaines de milliers de personnes continuent d’être testées positives au Covid-19. La situation sanitaire qui continue de s’aggraver pourrait-elle occasionner un retour des restrictions telles que le pass vaccinal ?
L’épidémie de Covid-19 est loin d’être derrière nous. Selon les derniers chiffres de l’Agence nationale de santé publique, plus de 100 000 nouvelles contaminations ont été enregistrées pour la seule journée du dimanche 12 avril 2022. Par ailleurs, le taux d’incidence s’élève à près de 1 400 personnes testées positives au virus sur 100 000 habitants en France, soit plus d’1% de la population. Entre le 31 mars et le 6 avril 2022, l’organisme a comptabilisé 9 212 hospitalisations de patients Covid, dont plus de 800 admissions en soins critiques.
« Il ne faut pas s’interdire de réutiliser le pass vaccinal »
« La loi a donné la possibilité au gouvernement de l’utiliser jusqu’en juillet. Et donc s’il y avait une remontée très forte, qui s’accompagnait d’une montée des hospitalisations et en réanimation, qui conduit à une déprogrammation des opérations, il ne faut pas s’interdire de réutiliser le pass vaccinal« , a déclaré le président de la République auprès de RTL.
Où la situation hospitalière est-elle la plus tendue ? Dans notre diaporama ci-dessous, découvrez le classement des départements où on compte le plus de lits de réanimation occupés pour 100 000 habitants. Les informations renseignées sont issues des données de Covid Tracker au 10 avril 2022.
Article paru le 11 avril ; pour en savoir plus, allez sur planet.fr
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Ils ont joué sur la sidération et le mensonge
Une intervention de L. Toubiana
https://www.youtube.com/watch?v=wNKwetQ9Df0
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Commentaire
Toute latitude va être donnée à Véran après l’élection présidentielle.
Compte tenu de la politique sanitaire menée depuis un bon moment, il ne faudra pas s’attendre à des changements radicaux. Bien au contraire.
C’est d’autant plus plausible que la politique menée jusque maintenant a fait ses preuves en terme d’obéissance de la part de nombreux Français.
On a voulu faire peur en disant que c’était la guerre. On s’est donné les moyens de coercition, notamment en terme de sanctions financières. Ce qui fait que, même maintenant, alors qu’il n’est plus question de porter le masque à l’extérieur, on voit encore des personnes marcher, rouler à vélo … avec le machin soi-disant protecteur.
Pourtant, de nombreuses personnes -concernées ou spécialisées- ont bien dit que cette « épidémie » n’était pas plus dangereuse que la grippe de 2015.
Pourtant on a dit (toujours des personnes concernées ou spécialisées) que le confinement a servi à pas grand-chose.
Pourtant on a dit que la politique à propos des masques avait été nulle : tout d’abord les masques ne servaient à rien -argument quand il n’y en avait pas en stock- ; ensuite, ils étaient devenues obligatoires, sous peines de sanctions
Pourtant on a dit que la politique de la vaccination obligatoire était scandaleuse à deux titres :
– elle portait atteinte à la liberté individuelle
– le vaccin proposé par big pharma (Pfizer …) n’en était pas un.
Cela n’a rien changé.
C’est confirmé par de nombreux observateurs que cet ensemble de mesures n’a servi qu’à mettre en place des lois d’urgence encore en application actuellement. Cela n’a pas été une politique sanitaire pour sauver des vies. On le pouvait d’autant moins que tout a été fait pour que les services médicaux soient étudié sous l’angle de la rentabilité financière.
C’est ce qui explique que l’on a supprimé -et on en supprime encore- des lits ; ce qui fait qu’on a diminué le personnel médical -mais pas spécialement le personnel administratif-. On a même dégagé des personnels soignants en quantité importantes parce qu’ils n’étaient pas vaccinés. La politique sanitaire a été aux ordres du pouvoir, sans lien avec la protection des citoyens.
Bien entendu, les médias ont été aux ordres et de ces « spécialistes » que l’on entendait continuellement sur toutes les radios, les télévisions, les journaux, et du pouvoir en place.
Ceci s’explique aussi par la politique de l’ordre des médecins qui a tout fait -sanctions à l’appui- pour déposséder les médecins généralistes de leurs décisions ultimes de prescrire, ceci au « profit » des services des urgences et des hôpitaux. Cela explique évidemment l’engorgement dans ces services et les morts dus notamment au retard de diagnostic médical à la base et au manque de personnel médical.
Il ne faut pas se faire d’illusions. Tout sera fait à l’heure actuelle pour montrer que la situation est très grave, qu’il y a une recrudescence de la maladie -en oubliant que le virus est plus contagieux mais moins dangereux, que les hospitalisations sont moins importantes et que la grippe s’installe.
Tout ceci pour remettre en route le pass vaccinal et obliger les jeunes à passer à la casserole. Cela ne gênera pas le président et son vassal à la santé de passer outre aux libertés individuelles ce qui entraînera une considérable augmentation du taux de suicide chez les enfants –ce qui a été déjà le cas durant ces deux dernières années. Puisque les loi d’urgence ne seront pas abrogées, on assistera encore à une longue marche de moutons qui emprunteront la route de la numérisation forcée et le boulevard du transhumanisme. 1984 ne sera pas loin !
On n’est pas sorti du cauchemar… sauf si on réagit collectivement. On avait déjà commencé à le faire pour le premier pass. Cela a été complètement ignoré par les « partis de gauche » qui n’ont même pas pris le train en marche, sous prétexte que cela avait commencé avec des mots d’ordre de l’extrême-droite. La réalité était globalement tout autre.
Si on ne sort pas de cette opposition de façade au pouvoir en place, on va continuer à subir … et on en subira de plus en plus.
Un extrait du livre « la doxa du covid, enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise sanitaire » , sous la direction de L. Mucchielli :
« Alors qu’ils avaient explicitement promis aux Français qu’ils ne le devrait jamais, le président de la République, le premier ministre, le ministre de la santé et l’ensemble du gouvernement ne cessent d’appeler par tous les moyens à la vaccination intégrale de la population et ne cachent plus leur intention d’essayer de rendre la vaccination obligatoire d’une façon ou d’une autre.
Dans cette vaste opération, le pouvoir exécutif déploie toutes les ficelles de marketing et de propagande.
Il s’agit notamment :
1) d’effrayer la population avec la circulation d’un nouveau « variant delta » semblant pourtant relativement inoffensif (du moins en été)
2) de prétendre que la vaccination protège presque totalement (95%) tant du risque d’infection que du risque de formes sévères de la maladie (donc, au final, du risque de décès)
3) de faire accepter à la population les termes d’un chantage : vaccination ou reconfinement »
Extrait écrit en juillet 2021 !
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Message d’un médecin
Médecine et dégringolade Le COVID a permis de mettre en évidence la manipulation condamnable de notre gouvernement, la corruption financière du corps médical, etc... Néanmoins je vous invite à déposer plainte auprès des conseils ordinaux de votre département contre le praticien qui vous a vacciné avec un vaccin ARN Messager dont on connaissait les risques mortels liés à toute expérimentation. Mentionnez le non-respect de l'article 40 du code de déontologie dans lequel chaque médecin doit s'interdire de faire courir au patient un RISQUE INJUSTIFIÉ. En effet la Chine, La Russie, L'inde et bien d'autres états disposaient de vaccins dits classiques. Surtout , une fois votre plainte déposée, refusez la demande de conciliation provenant du conseil départemental et ainsi votre plainte sera gérée directement par la commission disciplinaire de vôtre région. Vous ne risquez absolument rien si ce n'est de sensibiliser ceux qui ont trahi leur serment. Et là on se tourne vers notre président Emmanuel MACRON qui n'a autorisé que des vaccins AMÉRICAINS !! (Pfizer-Moderna-Jansen) C'est ce qu'on compare à "juge et partie" et que la loi condamne pour "Conflit d'intérêts". Le corps médical s'est rendu complice de ce grave délit dont vous en comprendrez plus tard les conséquences.
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Chine : jusqu’où ira la FOLIE “zéro covid” ?
Voilà deux mois déjà, je vous avais parlé de la politique “zéro covid” utopique, mais surtout intenable, de la Chine, appliquée à Hong Kong.
Pour rappel, cette politique consiste à éradiquer purement et simplement la circulation du virus, en prenant des mesures draconiennes dès qu’un cas apparaît et en contrôlant de manière rigoureuse les foyers d’infection.
Par conséquent, à Hong Kong, les hôpitaux étaient saturés dès l’arrivée d’Omicron, puisque asymptomatiques ou non, tous les patients positifs y étaient admis sans distinction.
Et les autorités annonçaient encore l’arrivée imminente de tests obligatoires, de tests antigéniques à réaliser tous les jours, la fermeture des commerces…
Depuis, nos regards se sont tournés vers l’Ukraine, les présidentielles…
Pour autant, la situation chinoise n’a cessé d’empirer jusqu’à aujourd’hui, transformant la chasse au covid en une véritable folie furieuse inhumaine.
Récit d’un cauchemar bien réel
Imaginez un instant que vous vivez à Shangaï.
Vous êtes tassés, confinés dans un petit appartement avec votre femme qui a accouché il y a quelques semaines à peine et vos deux chats.
La nourriture commence à manquer et vous devez vous contenter des bien maigres rations gouvernementales.
Le troc est revenu au goût du jour dans votre immeuble où chacun de vos voisins manque de quelque chose. Peut-être arriverez-vous à échanger un peu de sauce soja contre du café aujourd’hui ?
Les rares fois où vous sortez dans les rues désertes, surveillé par des drones et des chiens robots répétant inlassablement les mesures sanitaires, c’est pour vous rendre dans un centre, faire un test PCR obligatoire tous les trois-quatre jours.
Et là catastrophe, la nouvelle tombe, vous êtes positif et votre bébé aussi, malgré tous vos efforts et ce confinement forcé.
Vous n’avez pas de symptômes… et pourtant !
Immédiatement, vous êtes tous emmenés dans un centre pour y être placés en quarantaine, séparés les uns des autres.
Même votre bébé est arraché des bras de sa mère, qui pourtant l’allaite.
Pendant qu’une nouvelle attente commence pour vous, des inconnus en combinaison rentrent dans votre appartement, dans votre intimité, ultime rempart contre la folie extérieure.
Vos deux chats, soupçonnés d’être eux aussi porteurs du virus, sont capturés, balancés comme des ordures dans un sac en plastique et traînés dehors où un homme leur écrase sauvagement le crâne à coup de pelle.
Des dizaines de jours ont passé, vous avez perdu le compte, et enfin vous pouvez enfin rentrer “à la maison”.
Une fois dans votre appartement vide, vous n’aurez plus qu’à vous remettre de ces traumatismes et peut-être pourrez vous, un jour, recommencer à vivre.
Cela vous paraît être un cauchemar ?
C’est désormais la réalité pour des millions de Chinois.
Une horreur qui n’en finit pas
Mi-avril, un Français placé contre son gré en quarantaine à Shanghaï a raconté l’enfer de sa mise en isolement.
Son récit fait froid dans le dos, tant les conditions sont inhumaines :
Dans un centre de quarantaine, des centaines de lits sont alignés les uns à côté des autres, séparés uniquement par une petite cloison en plastique.
La lumière est allumée 24/24h, aucune fenêtre ne permet de voir le jour ou même d’avoir un repère temporel, le masque doit être porté en continu, il n’y a aucune possibilité de se laver correctement, aucune intimité pour se changer …
A quel moment la politique du “zéro covid” a-t-elle fait basculer le gouvernement chinois dans une hystérie générale, révélant toute la noirceur de l’âme humaine ?
On se croirait revenu au temps de la peste, où les malades étaient rassemblés à l’extérieur des villes, dans des conditions affreuses.
Pire encore, malgré ces réglementations drastiques et inhumaines, la Chine ne parvient pas à endiguer l’épidémie, bien au contraire !
Ce n’est malheureusement pas si étonnant quand on connaît la contagiosité d’Omicron, la politique « zéro covid” est tout bonnement impossible à maintenir.
C’est désormais au tour de Pékin de subir le même sort que Shanghaï, et Hong Kong, avec de terribles retombées sur la population et l’économie mondiale.
Mais quand s’arrêtera donc cette folie ?
Thibaut Masco de Santé Non Censurée
P.S. : Depuis le début de la pandémie, j’ai l’impression que les dirigeants cherchent tous à établir les mesures les plus restrictives possibles : obligation vaccinale en Autriche, camps de quarantaine au Canada et en Australie, restriction progressive des libertés individuelles par la mise en place de pass sanitaires partout en Europe alors que la censure des réseaux sociaux s’opère de manière généralisée