Covid, Pass, partis politiques et entreprise

Pour commencer : génotoxicité de l’excipient des vaccins ARN

C’est maintenant une certitude qui est corroborée par la preuve de tests : l’excipient principal des vaccins corona ARN est constitué d’oxyde de graphène.
Les fact-checkers (journalistes qui vérifient les faits) qui ne cessent de réfuter cette affirmation dans les médias sont des désinformateurs outranciers, dans tous le cas la messe est dite, l’excipient des vaccins corona ARN est constitué de nanoparticules d’oxyde de graphène, point final sur cette constatation, de plus scientifiquement dans le cas présent cela ne peut évidemment en être autrement !
En conséquence, il va falloir étudier et mesurer s’il y a oui ou non il y a une augmentation de la conductivité des tissus du corps des personnes vaccinées suite à la magnétisation des nanoparticules neutres de l’oxyde de graphène injecté dans leur corps, ceci soit au contact de l’hydrogène du corps, soit par induction électromagnétique
Dit autrement, savoir si les nanoparticules d’oxyde de graphène qui sont hautement conductrices sont activées ce qui est certes génotoxique, mais cela ouvre aussi la voie à d’infinis autres problèmes positifs (ex. Alzheimer) mais surtout négatifs liés aux nouvelles technologies.
De plus à ce jour il est impossible de dire si les nanoparticules d’oxyde de graphène qui pénètrent dans le cerveau suite à l’ouverture de la Barrière Hémato-Encéphalique, sont compatibles avec les cellules dont les neurones, si elles perturbent les échanges électriques du cerveau, si elles se fixent par exemple sur les synapses, si elles entrent en résonance avec les Hautes Fréquences micro-ondes en MHz et GHz ce qui ouvre évidemment la voie à des applications technologiques comportementales, etc …
Dans tous les cas il y a une constatation, il semblerait que le corps puisse éliminer dans le temps une partie des nanoparticules de graphène des vaccins ARN, puisqu’il est nécessaire de réaliser des rappels afin de maintenir un niveau de potentiel magnétique essentiel au maintien de la protéine spike dans les plaquettes sanguines.
Action : l’organisation environnementale EHS FRANCE va aller à l’essentiel, ceci par des mesures comparatives, afin de savoir si oui ou non les personnes vaccinées ont une augmentation de la conductivité de leurs corps par magnétisation suite à l’injection comme excipient de nanoparticules en charge neutre d’oxyde de graphène dans leurs corps.
Nota : l’inverse de la conductivité est la résistivité, au niveau santé, plus la résistivité électrique du corps et en apports (nutriments solides et liquides) est importante et plus les organes peuvent éliminer les toxines, purifier le sang, etc … En conséquence l’injection de l’excipient exogène de nanoparticules d’oxyde de graphène des vaccins ARN qui apporte une capacité de porter un courant électrique endogène qui affaiblit la résistivité du corps ne peut qu’avoir un potentiel génotoxique dans le temps.
EHS France

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Pfizer, la France et le Covid… Des versements financiers au Parti socialiste aux profits mirobolants des vaccins

À l’heure où le laboratoire Pfizer augmente le prix de la dose de ses vaccins passant de 15,50 euros à 19,50 euros, nous revenons sur les liens financiers qui perdurent aujourd’hui, plus que jamais, entre ce géant pharmaceutique et la France.

Les financements politiques

Comme nous l’avions déjà évoqué dans notre article « Zoom sur l’historique judiciaire de Pfizer, l’un des principaux producteurs de vaccins actuel contre la COVID-19 » le 18 mars 2021, le laboratoire Pfizer a un lourd passé judiciaire derrière lui.

L’Affaire Jérôme Cahuzac dévoilée par Mediapart en 2012 a notamment permis de mettre en lumière, au fil des rebondissements judiciaires et médiatiques, les liens financiers du laboratoire dans le financement occulte du Parti socialiste Français dans les années 90.
Un article du journal Sud-Ouest de 2015 indiquait que « L’ex-ministre du Budget Jérôme Cahuzac, jugé pour fraude fiscale, a déclaré lundi que “deux versements des laboratoires Pfizer” avaient été effectués en 1993 sur un compte ouvert en Suisse et étaient destinés au financement d’activités politiques au profit de Michel Rocard. »

 « Interrogé lors de son procès pour fraude fiscale au sujet des versements du laboratoire sur un compte ouvert en Suisse en 1992, M. Cahuzac reconnaît alors qu’en 1993 “deux versements des laboratoires Pfizer” ont été faits au profit du financement politique. » précise le même article.
Il fut le conseiller de Claude Evin, ministre de la santé, durant trois ans et il était notamment chargé de l’achat des médicaments : « Il s’agit d’enjeux “importants pour les laboratoires qui voulaient commercialiser des médicaments en étant assurés qu’ils seraient” remboursables par la Sécurité sociale. »

Cahuzac avait également fait mention, lors de l’une de ses déclarations, d’une rémunération pour un conseil relatif au prix d’un médicament et de « deux entrées de 817 500 francs le 4 janvier 1993 et de 504 000 francs le 7 mai 1993 » provenant de Pfizer.

Les mystérieux contrats

En plus des aspects financiers troubles qui sont assez caractéristiques des pratiques du laboratoire, plus récemment, en pleine pandémie mondiale, le média Suisse Blick ne manque pas de souligner dans un article que « Les contrats de Pfizer avec les pays auxquels elle fournit les vaccins sont restés secrets jusqu’à présent. Récemment, cependant, les accords d’approvisionnement conclus avec plusieurs pays ont été divulgués. Des médias en parlent dans le monde entier. Et les gros titres ont jeté une lumière douteuse sur ce géant pharmaceutique. Un réseau de recherche albanais a été le premier à faire état de ces contrats secrets. Selon ce rapport, Pfizer assure ses arrières d’une manière pour le moins controversée. »

L’Albanie a rendu public le contrat passé avec le laboratoire, en version non définitive puisqu’il s’agit d’un brouillon (« draft » en anglais).  Il donne néanmoins certainement une idée des clauses du contrat finalisé auquel nous n’avons pas eu accès.

Des profits qui ne cessent d’augmenter

Au moment où nous apprenions la hausse du prix de la dose des vaccins Pfizer de 20 %, passant de 15,50€ à 19,50 euros, et quelques jours seulement avant la mise en place du pass sanitaire en France, dans un article du journal Les Échos, Clément Beaune, secrétaire d’État aux Affaires européennes affirmait que « les doses concernées par l’augmentation des prix “ne sont pas les mêmes que la première génération de vaccins”. Le secrétaire d’État chargé des Affaires européennes a en effet expliqué que ces vaccins seraient “adaptés aux variants” et “produits sur le sol européen” ». Aucune précision n’a été apportée depuis sur ces points qui posent question, sachant que les vaccins actuels à ARN-m sont pour la première fois déployés massivement dans la population. Cette nouvelle information implique donc une potentielle nouvelle AMM conditionnelle à venir que M. Beaune n’évoque pas.

Les profits de la vaccination anti-covid du laboratoire ne cessent d’augmenter. « Le vaccin a rapporté à Pfizer plus qu’à aucun concurrent : 10,8 milliards de dollars (environ 9,2 milliards d’euros) de revenus au premier semestre 2021, période à partir de laquelle il a commencé à encaisser l’essentiel des ventes de ce traitement. Et le groupe américain ne cesse de relever ses prévisions pour 2021. Aux dernières nouvelles, il compte tirer 33,5 milliards de dollars des ventes de son vaccin cette année » , rapporte un article publié par le journal 20 minutes.

nexus

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La gauche partagée

Alors qu’EELV et LFI dénoncent l' »autoritarisme » de l’extension du pass sanitaire décidée par Emmanuel Macron, socialistes et communistes sont plus mesurés.

La convergence des luttes à gauche ne semble pas être pour tout de suite… du moins en ce qui concerne l’extension du pass sanitaire. À la suite du discours d’Emmanuel Macron annonçant son extension, de nombreuses réactions se sont fait entendre du côté des oppositions, notamment à gauche. Et elles étaient diverses.

Du côté de la France insoumise, on s’oppose à “une mesure disproportionnée” décidée sans l’aval du Parlement. “Comme depuis le début de la crise sanitaire, Emmanuel Macron prend des mesures attentatoires aux libertés. Le monarque décide seul et compte que sa majorité parlementaire applique sans discuter les ordres présidentiels”, ont ainsi dénoncé les Insoumis dans un communiqué diffusé ce lundi 19 juillet.

“Monarchie absolue” et “inégalités”

Appelant à manifester samedi contre le pass sanitaire, le député de la France insoumise François Ruffin avait également déploré que la population soit “ballottée au gré des décisions d’un seul homme”. Des critiques qui résonnent avec celles de Jean-Luc Mélenchon, qui dénonce de son côté un “abus de pouvoir” de la part du président de la République.

Un constat partagé aussi par la candidate EELV à l’élection présidentielle, Sandrine Rousseau, qui a pointé “une espèce d’overdose d’autoritarisme” sur RTL. “Aujourd’hui il y a besoin de ne pas utiliser que l’autoritarisme pour imposer une politique de santé publique qui est indispensable” a t-elle estimé.

L’eurodéputée EELV Michèle Rivasi était même allée plus loin en comparant l’extension du pass sanitaire à un “apartheid”, avant de se faire taper sur les doigts par son propre parti qui a jugé la comparaison “indigne”.

Autre critique, l’atteinte à l’égalité de l’accès aux soins. “Le problème de la vaccination est aussi social. Les plus favorisés se vaccinent davantage. Il faut résoudre les inégalités devant l’accès aux soins. Il n’est pas normal qu’on attende encore les centres de vaccination de proximité dans tous les quartiers populaires”, a notamment pointé le député insoumis Alexis Corbière, élu en Seine-Saint-Denis.

Un avis également partagé par Julien Bayou, secrétaire national d’EELV, pour qui “la carte de la vaccination recoupe malheureusement celle des inégalités, de la fracture numérique, de l’accès aux services publics. La campagne de vaccination doit aller au plus près des habitants”.

“Obligation vaccinale”

Au sein du Parti communiste, les annonces sanitaires n’ont pas été reçues avec la même animosité, volet social excepté. À la suite des annonces d’Emmanuel Macron, Marie-George Buffet louait dans un billet sur Facebook la vaccination de masse, grâce à laquelle “de graves maladies ont été éradiquées comme la variole ou la polio”, rappelant que “cela est passé par la vaccination obligatoire de onze vaccins en France”. Et l’ancienne ministre de poursuivre: “Se vacciner, c’est agir pour l’intérêt général et pour les libertés individuelles, rendre le vaccin obligatoire serait pour moi une avancée”.

Du côté du PS, on penche davantage pour la vaccination obligatoire que pour le pass sanitaire “tel que proposé par le gouvernement”. Dans un communiqué commun, députés et sénateurs socialistes indiquent que si le gouvernement maintient l’extension du pass, ils saisiront le Conseil constitutionnel, à l’instar de la droite sénatoriale et des députés LFI.

Pour autant, pas question de freiner la progression vaccinale. “Face à la progression du variant qui fait peser le risque de reconfinement, il nous paraît important de franchir une nouvelle étape avec la vaccinaton obligatoire contre le Covid sauf contre-indication médicale. Nous proposons que cette obligation soit progressive et entre en vigueur au 1er octobre”, écrivent les élus PS.

En attendant son entrée en vigueur, les débats à l’Assemblée nationale risquent d’être vifs ce mardi 20 juillet, alors que le projet de loi doit être présenté en fin de journée en commission, puis dans l’hémicycle mercredi.

HuffPost

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A propos du PC

Malgré leurs défaites répétitives aux élections, le fait que bien souvent ils n’atteignent même pas le pourcentage nécessaire pour le remboursement des frais de campagne .. ben ils sont toujours là et Roussel a bien dit qu’il irait jusqu’au bout pour les présidentielles, il maintiendra sa candidature quoi qu’il en coûte …

Alors comment ils font financièrement ?
Qui est derrière là aussi ?

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Dans les manifestations anti-pass « il y a des gens infréquentables », estime Laurent Berger de la CFDT

Selon Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, ces gens « infréquentables » sont « tous ceux qui sont d’extrême droite, qui sont complotistes, qui sont antisémites ».

Dans les manifestations anti-pass sanitaire, « il y a des gens qui sont infréquentables pour une organisation syndicale comme la CFDT », estime Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT samedi 4 septembre sur France Inter. Si son organisation syndicale n’appelle pas à manifester, c’est aussi « parce que nous ne sommes pas anti-pass et nous ne sommes pas anti-vax ».

Parmi les gens infréquentables présents dans les manifestations du samedi, Laurent Berger cite « tous ceux qui sont d’extrême droite, qui sont complotistes, qui sont antisémites et qui, finalement, se servent de cet argument-là pour pousser leurs idées. Ils sont assez nombreux quand même. On n’a rien à faire avec ces gens-là », insiste-t-il. En revanche, le leader syndical « respecte » une deuxième catégorie de manifestants. Il s’agit selon lui « de citoyens qui sont las, fatigués que ce virus et les décisions sanitaires qui sont prises restreignent finalement leur capacité de mouvement, de liberté ». Mais il « ne partage pas » leurs idées.

Le vaccin est « la seule solution » pour se sortir de l’épidémie

Mais surtout, le chef de file de la CFDT ne se qualifie pas d’anti-pass, ni d’anti-vax. « Le vaccin, c’est la seule solution qu’on ait trouvée pour l’instant pour sortir de cette période très difficile qu’on vit depuis un an et demi, qui est une restriction de nos libertés individuelles et collectives à cause d’un virus », dit-il. Personnellement, Laurent Berger se « passerait bien » du pass sanitaire, mais « on voit bien dans certains secteurs que c’est aussi la condition pour travailler dans un peu plus de sérénité ».

Le « boulot » d’un syndicat comme la CFDT, « c’est de faire en sorte que dans le monde du travail, les applications sanitaires se passent le plus respectueusement pour les travailleurs, dans le dialogue social et qu’on puisse vaincre enfin ce virus », estime Laurent Berger.

Interrogé sur l’obligation d’un pass sanitaire pour les salariés de nombreuses entreprises, Laurent Berger répond que « ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas la catastrophe annoncée ». Combien de salariés risquent de perdre leur emploi en refusant le pass ? « Pas beaucoup, très clairement », répond-il, même s’il n’a pas de chiffrage. D’après lui, il y a « des équipes syndicales qui disent : ‘Cela ne se fait pas dans de bonnes conditions' » et d’autres « équipes syndicales qui râlent parce que leurs employeurs ne réclament pas le pass sanitaire ».

franceinfo

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une entreprise va l’imposer illégalement à ses salariés

Il s’agit du pass « sanitaire »

Si au 1er octobre, un salarié ne présente pas de pass sanitaire, son contrat de travail « sera suspendu ».
Une entreprise de téléassistance, dont le personnel n’est pas en contact avec du public, souhaite imposer le pass sanitaire à tous ses salariés à partir du 1er octobre, avec suspension de salaire à la clef pour les récalcitrants, a-t-elle fait savoir lundi 6 septembre.

 « Le pass sanitaire est obligatoire dans les lieux qui reçoivent du public, pour toutes les activités de loisir (cinéma, piscine…) et pourtant il ne l’est pas pour les activités obligatoires comme aller travailler », a regretté Laurent Levasseur, président cofondateur de Bluelinea Sa société, basée à Saint-Quentin-en-Yvelines (Yvelines), emploie une centaine de personnes et est spécialisée dans l’aide à la personne en téléassistance.
« J’ai souhaité qu’on soit irréprochable », fait valoir Laurent Levasseur. Actuellement, environ 90% de ses salariés sont vaccinés. « On rencontre plus de problèmes avec les jeunes adultes », détaille le patron.
Suspension des salariés sans pass ?
Si au 1er octobre, un salarié de Bluelinea ne présente pas de pass sanitaire, son contrat de travail « sera suspendu », a indiqué l’entreprise dans un message adressé à la presse.  Pourtant, « la loi ne prévoit pas de mise en place du pass sanitaire de façon généralisée », prévient Eric Rocheblave, avocat spécialisé en droit du travail.
« Seulement certains salariés travaillant dans certains lieux » sont concernés, ajoute-t-il.

Une liste de ces lieux a été intégrée à la loi. « Si l’activité de l’employeur ne rentre pas dans cette liste, le pass ne s’applique pas à lui », rappelle Eric Rocheblave.
Risque de lourdes sanctions
« J’aurais tendance à dissuader les employeurs de faire ça, car ils s’exposent à un contentieux », ajoute-t-il. « Pour moi c’est clairement illégal », abonde sa consoeur Michèle Bauer. « Le pire de tout, c’est l’application de la suspension de contrat de travail. On est dans le cas d’une sanction pécuniaire illégale et c’est puni par le code du travail », relève-t-elle.  »
Je suis prêt à assumer le risque », répond Laurent Levasseur qui se dit « persuadé que d’ici quelques temps, il y aura un élargissement du pass sanitaire ».
Protection des salariés
Le pass s’impose actuellement à 1,8 million de salariés en contact avec du public dans les restaurants, cinémas, musées ou encore les trains grandes lignes.
Le patron justifie sa décision par l‘obligation faite aux entreprises de protéger la santé de leurs salariés. Il assure qu’il n’y a pas eu de levée de bouclier de la part de ses équipes et indique qu’il s’attendait « à plus de véhémence ».

Actu.orange.fr

Aux dernières nouvelles, l’Etat rappelle à l’ordre cette entreprise :

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/pass-sanitaire/pass-sanitaire-dans-les-yvelines-le-directeur-d-une-entreprise-veut-l-imposer-a-tous-ses-salaries_4763151.html