Je suis toujours déçu de lire ce que je redoutais !
Qui, ou, quand, quelqu’un a-t-il parlé ou laissé entendre qu’il s’agissait d’un complot ? Ce tropisme trop fréquent qui consiste à s’empêcher de réfléchir, notamment quand la question devient cruciale, est tout simplement désespérant. Mais bon dieu, plutôt que de foncer tête baissée dans le piège tendu, comme beaucoup de nos concitoyens à qui on a greffé les médias main stream à la place du cerveau, il est urgent d’observer la réalité et de faire marcher ses neurones. Puisqu’il faut rentrer dans les détails :
1/ le covid19 n’est pas un complot, c’est juste une opportunité pour le système.
2/ le système est aux abois : explosion prochaine et anticipée de la monstrueuse bulle financière, élargissement rapide et sans espoir d’inverser la tendance, du fossé entre les citoyens et la classe politique, le monde devient ingouvernable.
3/ un rapide retour sur notre histoire récente (le siècle dernier pour faire court) montre que le système utilise toujours la même technique pour surmonter les crises qu’il génère. Elle porte un nom, c’est la guerre ! Aujourd’hui son coût serait sans doute trop élevé compte tenu de la puissance de destruction et de la sophistication des armes, on lui préfère la stratégie du choc pour le même résultat, la mise au pas des peuples.
4/ l’outil privilégié de cette stratégie, les médias, tous les médias, presse tv, radios, réseaux sociaux… mais en bon techniciens de la manipulation on affecte une place et un statut à la contradiction. Place et statut toujours marginal et totalement dépendant des nécessités du pouvoir et de l’évolution des conflits. Tant que la contradiction reste confinée et n’affecte que marginalement la conscience collective elle est tolérée. Qu’elle rencontre le sentiment du plus grand nombre, elle devient dangereuse, on commence par tenter de la récupérer pour la diluer et la rendre inoffensive (technique dite de l’idiot utile). Seconde étape, la disqualification (complotisme, terrorisme etc). In fine on n’hésitera pas à la faire disparaître.
Enfin concernant les chiffres et leur manipulation je renvoie, et ce n’est pas mon habitude à cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=nryCpnbxV5M
On n’est pas obligé de partager la totalité de ce qui y est dit, je propose de regarder en particulier l’analyse des statistiques du ministère de la santé italien.
Alors bien sûr, la caractéristique principale de ce virus est qu’il est particulièrement contagieux, puisqu’il se propage pendant plusieurs jours au contact de porteurs sains. Mais si l’on se réfère aux chiffres, la létalité est sans doute très faible et loin des pourcentages que l’on nous bassine. Le problème c’est que tout est fait pour empêcher toute comparaison puisqu’on ne dépiste pas et le tour est joué, vous pouvez tous mourir. L’annonce il y a deux ou trois jours du décès d’une jeune fille de 16 ans devant tous les médias par le directeur général de la santé, vient s’il en était besoin renforcer ce que j’écris. On veut faire et entretenir la peur, même les jeunes peuvent mourir. Un seul cas et déjà big brother prospère. Ces gens sont des charognards qui servent le système, et au-delà de leur médiocre personne c’est le système qu’il faut abattre.
Dominique H
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Allez comme ma réputation est faite, petit coup de main à Dominique que je ne connais pas. Soyons clair, je ne pense rien, je suis juste sceptique comme la fosse sur cette affaire, que je lie également à la finance et à l’économie réelle…
Je me suis amusé à éplucher des bulletins de suivi épidémiologique du BEH. Voici le texte que j’ai envoyé sur un blog. Le voici à chacun d’en tirer ce qu’il veut, y compris rien du tout…
je suis allé fouiller un peu les stats annuelles des grippes comme ça juste pour le plaisir intellectuel..
sur des bulletins du BEH on trouve des choses intéressantes
Exemple : grippe 2014 2015
– 2 900 000 consultations
– 30 911 passages aux urgences
– 3361 hospitalisations
– 1591 cas graves de grippe
– surmortalité tt causes : 18300
décès attribués à la grippe : 14 490
je passe les années suivantes jusqu’à 2018-2019 ci dessous
le « seuil épidémique déclaré se situe en principe autour le fin d’année aux semaines 6 à 11 de l’année suivante
– 1 800 000 consultations
– 65 622 passages aux urgences
– 10 723 hospitalisations
– 1 886 cas graves de grippes
– surmortalité tt causes : 13 100
– décès attribués à la grippe : 8 117
Pour la réa, je n’ai capté qu’un chiffre sur ces rapports, c’est celui de la grippe 2017/2018 de 4 689 ..
Voici le bulletin épidémiologique habituel de la grippe pour la semaine 10 de 2020..
En parallèle au coronavirus, le BEH pond un rapport de suivi de grippe, le dernier étant celui de la semaine 10 de 2020 qui comporte aussi un nombre de cas grave de grippes et le nombre de décès semaine par semaine :
Pour mémoire, les derniers chiffres du corona que j’ai capté ce matin, 30 mars …
– 19 311 hospitalisés
– en réa : 4 592
– morts 2 606
guérisons ????? : 7131 (ce chiffre peut-être pour dire qu’on s’en sort ???)
Chaque année, les maladies cardiovasculaires font de l’ordre de 140 000 victimes, et le cancer environ 150 000.
La pollution de l’air tue 7 millions de personnes dans le monde par an (presque 600 000 en Europe)
C’est la 1ere fois que je regarde ces bulletins, et je ne suis pas toubib, mais j’ai une question qui me vient bêtement à l’esprit :
1° Qui compte quoi et qu’est ce qui est compté si un décompte continue pour la seule grippe ??
2° Que penser des décomptes, dans la mesure où c’est le gouvernement qui donne les chiffres et que tout moyen d’investigation ou de vérification est verrouillé par la réclusion générale
3° euh……………..
Jean Luc