Point de la situation mi Août
Point de la situation mondiale
Les chiffres officiels déclarent 21 Millions de cas, soit 2780 personnes infectées par Million d’hab (0,278%), ainsi que 761 000 décès, soit 3,62% des personnes infectées, ce qui fait 0,01% de la population mondiale (100,69 personnes par million)
Bombardés en permanence depuis plus de 5 mois de chiffres et déclarations anxiogènes, un climat malsain est entretenu qui distille la peur, celle d’être contaminé par son voisin, ou de mourir.
Aussi est il est bon de se rappeler quelques situations antérieures, bien plus graves que cette pandémie montée en épingle.
La peste noire survenue en Europe au 14è siècle a réduit sa population d’environ 1/3 à la moitié.
Plus près de nous la grippe Espagnole de 1918 (partie d’une grippe aviaire) a provoqué environ 100 Millions de morts, soit 10 fois plus que les soldats et civils tués lors de ce conflit.
Toujours plus proche la grippe saisonnière de 1969 – 70 dite de Hong Kong a produit 30,000 décès en France, soit les valeurs d’aujourd’hui et cela alors que nous avions 20 Millions d’habitants de moins, et sans qu’on en fasse tout un plat.
En 2013, le virus Ebola touche l’Afrique de l’Ouest. Particulièrement virulent, il provoque le décès de 40% des personnes infectées. Bien plus que ce que nous connaissons aujourd’hui.
Si l’Europe a été fortement touchée la première – après la survenue en Chine – la pandémie s’est ensuite propagée de par le monde, touchant l’ensemble de notre planète. Les plus touchés en nombre de cas sont les USA, le Brésil, l’Inde …
Au delà des chiffres bruts, il faut prendre du recul et les ramener à la taille de leur population. Un aperçu de la situation mondiale et par pays est accessible par Wikipédia, l’encyclopédie collaborative:
Voici le top 10 des pays les plus touchés au 14 Août et classé par ordre décroissant : le Pérou 873, la Belgique 867, le Royaume Uni 632, l’Espagne 612, l’Italie 584, le Chili 573, la Suède 559, les USA 528, le Brésil 503 et la France 458. Ces chiffres expriment le nombre de morts par million d’habitants.
Les situations au sein des pays sont très hétérogènes, certaines régions étant touchées davantage. Les grosses agglomérations concentrations humaines sont généralement plus affectées, et des infrastructures ou situations telles le métro ou grands rassemblements sont favorables à la contagion.
S’agissant de la France, le pic de la pandémie est derrière nous où mi-Août nous comptabilisions un cumul de 252 000 personnes contaminées et 30 406 décès.
Confinement et masques : pas la panacée
Alors que le confinement « dur » était présenté comme indispensable et la solution, cette affirmation est démentie par la réalité des faits.
Ainsi comparons deux pays voisins fortement peuplés, à savoir la Belgique et les Pays Bas.
Le 1er confiné compte 812 morts par million d’habitants, alors que les Pays Bas non confinés en comptent 339, soit près de 2,5 fois moins.
Cela n’est pas une exception, voir à ce sujet ce qu’en dit le Docteur Delépine,
S’agissant des masques, là aussi il y a à redire. Autant ils sont indispensables pour les personnels de santé, qui doivent disposer et changer régulièrement de masques spécifiques de haute protection FFP2, autant les conditions de port sont différentes pour les autres catégories de population et les circonstances.
Un certain nombre de médecins nous alertent, déclarant que les masques peuvent devenir de vrais « bouillons de culture » du fait de la production d’une atmosphère humide, et notamment en cas de port prolongé.
Voir ici ce qu’en dit le Dr Sacré.
Ce Covid 19 n’est pas si terrible que ça : Avis et témoignage
Alors qu’on nous présente le Covid 19 comme un agent tueur, et plus particulièrement pour les personnes âgées, trouvez ci contre le témoignage d’un monsieur âgé de plus de 80 ans, qui s’est soigné avec des remèdes traditionnels, considérés comme pas sérieux, et déclare que ce Covid n’est pas plus terrible qu’une bonne grippe :
Vaccination : la course au jackpot
Alors que des traitements -non validés par l’OMS- tels l’hydrochloroquine ou encore utilisant des plantes et huiles essentielles obtiennent de bons résultats, mesurés et vérifiables, les pays riches ont dès le début joué la carte du vaccin, présenté comme la solution.
Cette stratégie a déjà été tentée par le passé, qui a échoué – lors de l’épidémie H1N1, et pourrait cette fois ci obtenir un vrai succès, et cela grâce au sentiment de peur savamment entretenu.
Il faut dire que la réalisation, et surtout la vente de vaccins permettra aux labos pharmaceutiques de faire des profits considérables, et notamment en direction des pays riches, seuls solvables.
Voir article : course au vaccin, une affaire de milliards
Pour autant des risques existent, qui sont loin d’être négligeables.
Dans cette affaire de gros sous, les dés sont pipés. En France, pas moins de neuf experts de Macron sont liés financièrement à l’industrie pharmaceutique.
Certains pays envisagent même de rendre ce vaccin obligatoire, tels l’Australie, enfreignant en cela la liberté individuelle.
L’instrumentalisation de la peur se poursuit, au service du contrôle total
Depuis le confinement imposé le 16 Mars, nous subissons tous un matraquage permanent de chiffres et déclarations anxiogènes, et les avis divergents sont combattus, ignorés et même censurés. Quelques voix dissidentes s’élèvent parmi lesquelles le Professeur Perronne qui nous dit « Ce qui est livré au public est pesé, et n’a pas forcément à voir avec la science ».
Voir à ce sujet l’article d’Alternative Economique :
Y a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?
Alors que le pic de la pandémie est derrière nous en Europe, nous assistons à une dramatisation de la situation évoquée sous le vocable « 2è vague ». Alors que nos dirigeants déclaraient les masques inutiles – en fait nous n’en avions pas- en début de pandémie, voilà que ces derniers deviennent aujourd’hui obligatoires dans de nombreuses villes, et mêmes départements – Cas du Nord ce 27 Août-
Face à un monde qui craque de partout, et est caractérisé par de nombreux mouvements sociaux et cela depuis de nombreuses années, cette crise sanitaire est du pain béni pour y mettre un coup d’arrêt.
A cette fin, de nombreux chefs d’état relayés par une presse non indépendante ont développé et entretenu un sentiment de peur, mais aussi pris des mesures liberticides.
Rentrée sociale, l’heure de la soumission ou de la rebéllion ?
Ce n’est pas un hasard si nous assistons à un durcissement du dispositif gouvernemental fin Août, à la veille de la rentrée sociale, où nombre de manifestations sont déjà annoncées et à venir.
Leur objectif est bien de neutraliser et /ou empêcher toute contestation, manifestation, rassemblement..
Sont particulièrement visés les gilets jaunes, les manifestations contre les retraites, les personnes dénonçant l’inaction climatique et l’effondrement de la vie, ou encore les autres contestataires de tout poil.
Alors que les contentieux et revendications n’ont jamais été aussi nombreux et forts, le plus sage serait de prendre en compte les attentes et urgences de la situation, et d’engager un dialogue et des réformes radicale demandées par de nombreuses associations et mouvement lors de cette crise, et formulées sous le vocable « pour un monde d’après ».
Rien de cela n’est à l’ordre du jour. Aucune leçon n’a été tirée de cette crise sanitaire, pas même dans le secteur de la santé.
L’heure est grave où le choix réside entre la soumission totale et la rébellion.
En effet, nous glissons rapidement et brutalement vers un régime de plus en plus liberticide, sourd et dictatorial – du verbe dicter, c’est à dire ordonner ce qu’il faut faire, avec sanctions et police à l’appui–
En cette période difficile, il me semble bon de se rappeler les propos de Benjamin Franklin :
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux »
Alain Vandevoorde, militant pour la défense du vivant et de l’humain