Cela veut dire 17 mars 2021 dans notre actuel calendrier … grégorien
17 mars 2021 : premier anniversaire du premier confinement macronien.
Les masques tombent : le pouvoir en place –appuyé par des disciples en général incompétents- veut nous écraser.
Le monde d’Orwell est bien à notre porte !
La covid est un moyen pour arriver à ses fins. Pour quel résultat ? En tout cas, pour être en bonne santé, il faut d’abord fermer la télé !
En préambule, il faut rappeler que ce qui suit provient toujours d’un complotiste, un conspirationniste, voire un islamo-gauchiste ! C’est le prolongement de l’article paru le 6 mars et intitulé « Alerte aux habitants du Pas-de-Calais ».
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Comment s’est passé le deuxième week-end confiné dans le seul département puni par sa majesté ? Il a fallu jouer au con finement ; donc devenir un pasdecalaisien sans papier.
Samedi 13, il y avait un rassemblement musical à la place des héros à Arras. J’y suis allé SANS PAPIER.
Dimanche, il fallait parcourir 3 km pour franchir la frontière départementale. J’y suis allé, puis en suis tout de même revenu. SANS PAPIER.
D’AILLEURS, A QUOI SERT LE PAPIER QUE L’ON VEUT NOUS IMPOSER ? A rien ! En gros, cela signifie que l’on devrait écrire : « Je soussigné, X X, certifie que je m’autorise à me déplacer pour faire ce qui est utile. » C’est tout de même plus court que le baratin administratif.
Je serai encore un pasdecalaisien SANS PAPIER le prochain week-end –et durant les autres week-ends qu’on voudra nous imposer ! Même pas peur de l’interpellation !
C’est ce qu’on appelle la désobéissance. C’est un petit geste. C’est imitable à l’infini !
Quelle est la politique du pouvoir en place ?
Il faut se rappeler que, en novembre 2020, un hebdomadaire allemand a parlé de cet « Absurdistan français » : « contrôles et amendes, attestations à remplir, déplacements limités à 1 kilomètre et 1 heure… Une gestion de crise sans concertation, verticale, monarchique et l’infantilisation d’une population souvent sermonnée. » En gros, on peut dire que MERKEL parle à des adultes, Macron à des enfants.
Ce pouvoir veut nous enfoncer dans le crâne que cette covid est très dangereuse, beaucoup plus que d’autres maladies. C’est démenti dans les faits mais cela permet au pouvoir de nous mettre une laisse.
La politique du pouvoir en place s’appuie sur trois critères principaux :
- Faire peur, sanctionner et culpabiliser les citoyens
- Faire en sorte que ces citoyens se battent les uns contre les autres
- En profiter pour avancer à marche forcée vers ce modèle qui ressemble assez à ce qu’a écrit Orwell dans son livre « 1984 » et qui nous amènera vers la société numérisée … puis transhumaniste
C’est notamment le sens de la loi « libertés et sécurité ». Il faut rappeler que 70% de la 5G servira à la surveillance.
C’est de l’opportunisme politique : il faut profiter de ce virus pour constamment maintenir la pression afin d’obliger l’ensemble des Français à obéir.
Il est aussi à remarquer que l’on a affaire, depuis longtemps à un pouvoir monarchiste. D’ailleurs, certains commentateurs n’hésitent à dire que le grand chef est compétent en tout et décide de tout ; même dans le domaine sanitaire puisqu’il est épidémiologiste en chef : on voit le résultat !
Cette période est favorable à l’imposition du passeport vaccinal ; et aussi à l’obligation d’utiliser le QR code. Cela ne se fera pas tout de suite ; mais il faut le suggérer, bien le mettre dans la tête … pour l’imposer à un moment donné.
Pendant ce temps, que font les médias ? Globalement, les grands médias et la presse régionale vont du côté du manche macronien. Il suffit de voir et de regarder les infos régionales ou nationales.
Un exemple parmi tant d’autres. Avant le week-end du confinement du Pas-de-Calais et après, les infos régionales ne montrent que des gens qui comprennent le confinement. Pire, on a même entendu une Dame qui a prétendu que Dunkerque était confiné à cause du Pas-de-Calais ! Les grands médias sont très souvent à la botte du pouvoir en place. Ils sont là pour nous faire oublier les inconvénients dus à cette politique criminelle et nous divertir. C’est ce qu’a décrit Guy Debord quand il parle de la société du spectacle.
Comment analyser la politique en matière sanitaire ? Elle se résume à un mot : catastrophique. Cela a été dénoncé par de nombreuses personnes –médecins et analystes- … que l’on n’entend pas beaucoup dans les grands médias ou que l’on censure ! C’est évidemment la conséquence de la politique sanitaire depuis plus de trente ans. C’est encore plus visible à l’heure actuelle. Cela explique que l’on supprime des lits encore … et que l’on doit, en TGV ou en hélico, transporter des malades dans d’autres centres hospitaliers –ce n’est pas grave, c’est la sécu qui paiera. Cela explique que, face à l’absence de médecins (en burn out), on fait appel à des mercenaires qui sont très très bien payés. Cela explique que l’on demande à certains médecins de faire du chiffre (d’affaires), faute de quoi, le service sera fermé. Cela explique que l’on crée des commissions qui ne servent à rien d’autre qu’a renforcer le pouvoir des administratifs dans le domaine sanitaire et à placer ses petits copains en les payant grassement. C’est la médecine libérale à grande vitesse. Il y aura des morts, mais c’est le dernier des soucis de ces politiciens qui nous gouvernent.
Pour revenir sur la méthode MIcronienne, il faut bien comprendre que l’important est de montrer que les citoyens ne sont pas sérieux. Cela évite de mettre l’accent sur les inconséquences de la politique nationale.
Pour faire croire que le pouvoir en place a pris et a conscience des problèmes liés au climat, il invente un projet de loi « climat et résilience » qui est loin d’être porté par les citoyens qui avaient participé à la réflexion sur le sujet.
Il faut toujours comprendre qu’un petit problème est mis astucieusement en avant pour cacher les incohérences ou les incompétences du pouvoir en place. Pendant qu’on parle des islamo-gauchistes dans les universités (un fantasme trouvé par le sinistre de l’éducation nationale et poursuivi par sa secrétaire d’Etat aux universités), on ne parle pas de la politique de Macron dans le domaine éducatif, social, sécuritaire, sanitaire …
Il ne faut pas s’étonner de cette ambiance morose. Cela explique facilement ce titre du journal « le monde » : « Anorexie, boulimie, aphagie… chez les jeunes, ces troubles du comportement alimentaire explosent avec la pandémie. » Ce n’est qu’un des nombreux exemples de ces dysfonctionnements.
Toute cette période depuis un an a été propice au déclin de la culture –notamment populaire-, des restaurants et des cafés, des activités sportives –sauf celles qui utilisent des pros ! Le résultat est que l’on va se retrouver :
- avec une culture atrophiée,
- avec la mort des petits restaurants et cafés au profit des grandes structures
- avec le déclin de petites structures sportives, faute de bénévoles et de ressources.
De notre coté, que faudrait-il faire ?
- D’abord ne plus avoir peur ; transformer cette peur en prudence.
- Ensuite, désobéir à cette politique liberticide, anti-sociale, anti-sanitaire.
- Mettre à bas le régime capitaliste : la croissance est le problème, ce n’est pas la solution.
- Décroitre et vivre pleinement. Comme le dit si bien S. Léménorel, auteur du livre « Orwell ou la vie ordinaire » : il y a un « double mouvement : à la fois rupture radicale avec le capitalisme industriel et conservation de la vie, du milieu naturel, des liens sociaux, des conditions d’une vie décente ». Pour Orwell, « la première urgence est de protéger et de conserver ce qui peut l’être : la vie sociale et la vie sauvage, la dignité et la mesure, l’usage des facultés humaines ». Vivre, cela veut dire ne pas se laisser numériser, transhumaniser. Vivre, cela veut dire être libre, rencontrer, échanger, créer des liens avec la nature, se laisser emporter par le progrès … humain.
Cela veut simplement dire qu’il faut que l’on reprenne le pouvoir de réflexion et –surtout- d’actions. Ce ne sera pas facile. Mais c’est la condition pour ne pas être écrasé par un système qui ne demande qu’à nous broyer et –si nécessaire- nous éliminer.
Pour terminer ce petit article, il n’a pas été beaucoup question du masque. Un texte écrit par H. Krief l’explique très bien. Il sera publié dans les jours à venir.
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Courrier d’une lectrice de l’ « âge de faire »
Marre de la vie dématérialisée
Le télétravail, ça commence à bien faire, surtout dans le social… les rendez vous administratifs en visio ou uniquement par téléphone, les informations officielles uniquement en ligne.
Un moment, certains prendront une arme et s’en prendront à des boucs émissaires.
Les personnes qui ont des postes d’accueil sont victimes de propos agressifs. C’est un danger insidieux, souterrain, mais qui monte graduellement en puissance. Ce matin, je lisais une infirmière quie s’élevait contre les partisans du confinement et du télétravail, juste parce que cela leur permet un confort, pas de déplacement, et de travailler moins. Je ne veux pas généraliser, mais … Donc une injustice criante, dont les infirmières sont les premières victimes, encore, toujours.
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Un document de Robin des toits
Etre lanceur d’alerte dans une démocratie morte et quand tout est interdit
Extraits
Comment, pour une association, rester lanceur d’alerte …
– à l’heure où les ministres de 15 pays demandent à la commission européenne de mettre en œuvre tous les moyens pour faire taire les « désinformations » concernant la 5G ?
– à l’heure où une loi sur le séparatisme vise ouvertement toutes les associations (et nous savons déjà celles qui seront les plus exposées) ?
– à l’heure où l’Association Anticor peine à obtenir le renouvellement de son agrément ?
– à l’heure où le ministère de l’Education nationale menace notre association de « préjudice » si elle persiste à déposer un dossier d’agrément pour pouvoir intervenir dans les collèges et lycées et/ou en formation auprès des enseignants en lycée technologique, ce qui fait pourtant partie des programmes, ou encore des personnels de santé, infirmiers notamment ?
– à l’heure d’une Mission d’information commune, à l’Assemblée Nationale, sur les moyens de juguler les entraves et obstructions opposées à l’exercice de certaines activités légales ?
– à l’heure où des ordonnances ont été promulguées comme celle qui a totalement libéré les opérateurs de toute réglementation concernant l’installation d’antennes-relais, et où la décision du Conseil Constitutionnel leur donnerait force réglementaire même si leur délai d’habilitation est dépassé ?
– à l’heure où l’ARCEP donne secrètement autorisation d’installer dans trois communes, sans aucune concertation ni même information quelconque, des stations terrestres Starlink dont la puissance totale de chacune est de plusieurs Millions de Watts, niveau de puissance encore jamais vu, qui pose de sérieuses interrogations sur la pollution électromagnétique dégagée en permanence dans l’air et aussi dans le sol et sur la préservation de la vie elle-même ? – à l’heure où le premier ministre pond, le soir du 24 décembre, un décret interdisant pratiquement les médecins d’une parole autre que celle définie par un Conseil de l’Ordre ?
– à l’heure où l’état est conduit par un Conseil de défense secret dont les minutes ne sont ni transcrites ni publiées ?
– à l’heure où tous les verrous de la démocratie sautent les uns après les autres et où la liberté d’expression devient un délit d’opinion ?
– à l’heure où les media dominants bloquent toute information, notamment venant de nous, lanceurs d’alerte ?
– à l’heure où sont traités de complotistes et exclus de la place publique tous les discours scientifiques ne répondant pas à la nécessité officielle en ce qui concerne la COVID 19 ou la 5G (il est impossible de dire par exemple que les CEM ont un effet négatif sur les défenses immunitaires) ?
– et, surtout, à l’heure où, fin décembre, l’Europe a déclenché le plan HEXA X pour une mise en œuvre, grâce à la 6G de l’industrie 4.0 citée plus haut, où des hommes ne seront qu’un des éléments d’une chaîne robotisée grâce à l’intelligence artificielle ?
La grande question n’est plus la confiance dans le crédit de la science, dans le cadre d’une fabrication du doute, mais dans son discrédit, conséquence de la fabrication du mensonge et des interdits sociétaux ou légaux de dénoncer ces mensonges. Notre domaine des effets des champs électromagnétiques n’y échappe bien évidemment pas.
Tout cela a comme conséquence une crise sanitaire autre qu’une crise virale, notamment par la hausse du nombre d’EHS, de la destruction psychique, donc de la pensée (par attaque, par exemple, des neurones de l’hippocampe et du cerveau frontal médian), des cancers, de la fertilité, etc., tout ce qui est maintenant scientifiquement bien établi. Sans aborder par ailleurs la grave question des conséquences sur les enfants !
Quelle place ont nos associations dans cette évolution ? Que pouvons-nous faire qui respecte notre éthique tout en étant politiquement efficaces (c’est-à-dire d’avoir une action efficace sur notre société) ?
Que faire face à ce qui nous attend sociétalement dès 2028 selon les prévisions européennes (6G et industrie 4.0 opérationnelles) ?
Créer du lien, localement et entre associations, investir les champs collaboratifs, résister individuellement au faux progrès (pourquoi acheter un portable 5G ?), agir localement, continuer à faire pression sur les députés, sénateurs et autres maires (ne pas oublier qu’ils sont élus), refuser la violence qui est faite grâce à la pandémie, résister à la peur, au sentiment d’impuissance qui nous sont imposés, refuser d’abandonner nos savoirs propres et en acquérir le plus possible, refuser de lire, d’écouter et de regarder les media qui se comportent comme de « nouveaux chiens de garde » (ils n’ont d’impact que par leur audience), avoir suffisamment confiance pour créer de nouveaux contre-pouvoirs, ne rien sacrifier à sa liberté.
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Une réflexion écrite par Daniel Tanuro
Extraits de son livre « trop tard pour être pessimistes »
« Chacun peut imaginer la réponse au basculement climatique que les dirigeants capitalistes mettront en œuvre quand la nécessité d’agir sera devenue vraiment incontournable. Il faut beaucoup de naïveté pour croire que cette réponse sera empreinte de justice, d’altruisme et d’humanité. Les possédants tenteront de se sauver, de sauver leurs privilèges et de sauver leur système à tout prix, sur le dos des pauvres, en s’entre-dévorant. Pour détourner l’attention de leur responsabilité, ils exciteront le nationalisme, le racisme, le machisme et désigneront des boucs émissaires. Pour diminuer le réchauffement, ils recourront au nucléaire, à la géo-ingénierie ou à d’autres technologies dangereuses pour l’humanité –mais intéressantes pour le capital. Alors qu’ils n’auront rien vu venir, ils invoqueront l’urgence pour appeler « les citoyens » à pallier par leurs dons les carences des services publics causées par l’austérité. Déclarant la mobilisation générale, ils utiliseront leur appareil d’Etat pour imposer aux populations des règlements dont ils vérifieront l’application par des technologies intrusives. Au nom de la nécessité scientifique, la biopolitique montrera ouvertement son caractère dictatorial. Elle pourrait même prendre la forme d’un biofascisme, car le capitalisme ne se résoudra jamais à produire moins, transporter moins et partager plus ; or, si l’on refuse cette solution de bon sens, la disparition d’une bonne partie de la population mondiale apparaitra en définitive comme le seul moyen de « résoudre » la contradiction entre l’infinitude de l’accumulation du capital et la finitude de la planète. En clair, la réponse que le système improvisera face au désastre climatique risque de ressembler au triomphe de la mort de Brueghel … »
Cela a été écrit le … 4 avril 2020. C’est dire que Daniel Tanuro avait une bonne vision de ce qui allait se passer.
La suite de son livre -qui a été écrit vraisemblablement avant le premier confinement- n’est pas vraiment adaptée au contexte politique qui se dégage de cet enfermement.
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Nouveaux commentaires reçus à la suite du premier article
Suite aux annonces du Gouvernement en date du 4 mars, Pierre Sénéchal, maire de Givenchy-en-Gohelle, s’indigne des inégalités de traitement injustifiées entre les différents départements français et adresse cette lettre ouverte au Président de la République.
Après avoir été chômeurs, consanguins, pédophiles, nous voilà les pestiférés de la France ! Monsieur le Président, nous ne comprenons pas : pourquoi nous et seulement nous ? Le département 93 qui présente une situation sanitaire identique à la nôtre, lui n’est pas confiné !
On nous dit que nos services de réanimation fonctionnent à flux tendu… Mais depuis des décennies le système de santé de notre département est abandonné, et nos soignants ont bien du mérite de travailler dans de telles conditions ! Et c’est nous qu’on montre du doigt, c’est nous qui sommes la risée de la France.
Le premier ministre semble vouloir faire porter le poids de la responsabilité et de la culpabilité sur les épaules des habitants du Pas-de-Calais : en effet il paraît qu’ailleurs de telles mesures n’ont pas été nécessaires parce que les gens se sont bien comportés ! Mais qu’avons-nous fait de moins bien que les autres ?
Pourquoi n’avons-nous pas monsieur le Président reçu le nombre de doses de vaccins que nous étions en droit d’espérer, où sont-ils partis ?
Venez monsieur le Président, nous expliquer pourquoi nous sommes les abandonnés de votre politique, pourquoi il est si difficile de construire le nouvel hôpital de Lens, pourquoi les promesses qui nous sont faites ne sont jamais suivies d’effet.
Monsieur le Président, on nous parle de concertation avec les maires… Pour ma part, personne, je dis bien personne, ne m’a jamais consulté.
Venez, Monsieur le Président, répondez à notre appel comme nos anciens ont su en leur temps répondre à l’appel des 1000 000 tonnes de charbon par jour qui ont relancé la France après la seconde Guerre Mondiale.
Le mépris, l’indifférence, à n’en pas douter, conduiront notre département en 2022 dans les bras d’un parti qui malheureusement chaque année voit grandir son influence. Vous ne pourrez pas dire que nous ne vous avions pas prévenu, vous en serez responsable et coupable.
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Le cas du PdC est plus triste que chez nous où nous sommes un peu épargnés. Pour info, j’étais hier à Montpellier où beaucoup de gens se baladent sans le masque. Je n’y ai pas vu de flics. Pareil à Béziers. Alors qu’à Paris ils envoient les flics pour dégager les quais de la Seine. Que se passe-t-il en Seine St Denis ?
On ne parle que des vaccins dans les médias. Des pseudos vaccins dont le principe est la thérapie génique. Espérons que ça ne fera pas de dégâts ! On s’étonne que des soignants n’en veuillent pas…
Bref, Macron ne veut pas instaurer d’obligation de se faire vacciner mais, ‘en même temps’, un passeport le rendra obligatoire si on ne veut pas rester confiné à vie…
Hier, a eu lieu une deuxième manif « orwellienne » à Montpellier. Montrer que nous y sommes, c’est la moindre des choses. Mais tout ça n’a rien d’une lame de fond, seules quelques dizaines de personnes. Les « gaulois réfractaires » semblent bien minoritaires.
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Nous on veut continuer à danser